Vincent-Martine, transsexuel de l’enseignement diocésain de Nantes - France Catholique
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Vincent-Martine, transsexuel de l’enseignement diocésain de Nantes

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Une dépêche de l’AFP du 3 septembre nous apprend qu’un « professeur de sciences physiques dans un lycée privé de la banlieue nantaise a changé de sexe au cours de l’été, selon une information publiée par le quotidien Presse-Océan vendredi et confirmée par la direction diocésaine. « Vincent » en juin dernier, lors de la sortie des classes, était devenu « Martine » jeudi, pour accueillir les élèves le jour de la rentrée. »

Le directeur, M. FOUCAUD, s’est cru obligé de déclarer à Presse-Océan : « ce changement d’identité est un cheminement personnel qui s’impose à nous, et nous n’avons pas à nous positionner là-dessus ». Pour ce directeur, ce qui compte « c’est le travail au quotidien et le professionnalisme de ce professeur ».
Si j’ai bien compris, les pratiques même perverses d’un individu priment sur le projet pédagogique de l’établissement et de sa spécificité catholique ? Ce genre de compromission vis à vis d’un homosexuel désormais transsexuel, poisson-pilote de tout un lobby, est inadmissible dans l’enseignement catholique…

Pour l’association des parents d’élèves du lycée Saint-Dominique, par la voix d’une représentante de l’APPEL, il s’agit « d’un choix personnel parfaitement légitime et nous avons cherché à l’accompagner afin que cette rentrée se passe de la meilleure des manières ».
En conclusion, le choix personnel d’un individu, si sympathique, si respectable et si bon professionnel qu’il soit, doit s’imposer comme référence à tous les élèves, tous les salariés de cet établissement, en dépit de sa nature déviante par rapport au socle catholique de cet établissement.
L’Eglise catholique de France se laisse spolier de son école, premier et dernier lieu d’évangélisation, par des personnels sans scrupule, chargés de liquider les dernières références chrétiennes de nos ex-écoles libres.

Enfin, pour M. Chaillot, directeur diocésain de l’enseignement catholique , la direction diocésaine « a fait le choix de l’information et du dialogue en restant à la disposition des parents et en accompagnant toute demande d’élève ».
Encore une belle illustration de « la politique du chien crevé au fil de l’eau », celle qui permet de flotter au gré de tous les courants …

Bonne nouvelle, une psychologue de la direction diocésaine est intervenue sur place, le jour de la rentrée, parait-il… Incroyable aveu !!! Sans doute pour mesurer les dégâts causés par cette pitoyable permissivité dans une enceinte catholique ? Ou pour voir le degré d’acceptation et les futures marges de progression ?

L’enseignement catholique meurt spirituellement d’être sous contrat, donc sous la tutelle d’un état laïc et décadent. Il laisse sa place à un enseignement privé s’abandonnant lentement au fil des idéologies du moment, souvent même en les précédant.

JLB

« A force de tout voir, on en vient à tout supporter, à force de tout supporter, on en vient à tout approuver »
Saint Augustin