Je vais prochainement prendre ma retraite. Et France Catholique continue, dans les meilleures conditions possibles pour ses collaborateurs, au sein d’une grande et bonne œuvre destinée notamment à la jeunesse et à laquelle un puissant industriel a donné généreusement les moyens de durer longtemps. Je n’ai rien cherché. Tout est venu au moment où on doutait de plus en plus d’un modèle économique devenu improbable et où les solutions envisagées pour une transmission risquaient de nous diviser. Fous sont ceux qui ne croient pas à la Providence divine !
Relancer la machine
Cela ne veut pas dire que mes successeurs auront une tâche facile, car je n’ai pu que gérer un lent déclin, alors qu’ils ont pour ambition de relancer la machine ! Quels que soient les chemins qu’ils prendront, ils garderont ma reconnaissance, mon admiration et ma bienveillance la plus pratique possible. Je demande à tous ceux qui nous ont si efficacement soutenus d’être encore plus mobilisés et efficaces et de faire preuve d’encore plus d’indulgence que celle dont j’ai bénéficié.