Le 4 septembre dernier, le pape François a demandé à tous les catholique de prier et de jeûner pour le Liban. Et pour cause : crise économique, corruption, rivalités intercommunautaires, le Liban est de nouveau au bord de l’effondrement. Sans compter bien sûr, l’explosion du 4 août dernier qui a fait près de 200 morts et ravagé Beyrouth.
Le Liban a aussi des liens multiséculaires avec la France et joue un rôle capital au Proche Orient, notamment grâce aux chrétiens maronites. Cette identité chrétienne donne-t-elle une vocation singulière à ce pays et une espérance pour l’avenir ?