3 mars
Si je récapitule les semaines où j’ai confié ici-même mes réactions face à l’incontestable crise qu’a vécue notre Église – et qu’elle continue à vivre – je suis obligé de conclure à une épreuve spirituelle, ressentie avec des intensités diverses, des appréhensions diverses, à l’aune de responsabilités contrastées, la plus forte étant celle du Saint-Père lui-même. Est-ce à dire qu’au-delà de toutes les controverses, les prises de position, les oppositions parfois frontales, il y aurait lieu d’entreprendre une autre lecture de tout cela, qui serait précisément spirituelle ? Je le pense, sans être sûr de pouvoir la mener comme il conviendrait. J’ajoute que par lecture spirituelle je ne songe pas uniquement à une sorte d’examen personnel d’un chacun devant Dieu, mais aussi à une exégèse théologique où les mises en perspectives historiques, l’analyse précise des enjeux du moment, seraient fortement sollicitées. Et puisque le concile Vatican II se trouve au centre de tout, comme un objet d’identification, de refus, il serait peut-être opportun d’y revenir, afin de savoir de quoi on parle, loin des adhésions proclamées sans beaucoup de discernement.
La dimension de combat personnel n’est pas à minorer. Quelqu’un comme moi est obligé de la considérer avec quelque attention à cause de l’engagement qu’une telle crise suppose et qui ne va pas sans emportement et sans passion. J’ai été à l’école de maîtres qui ne répugnaient vraiment pas à la polémique, et il m’en est resté quelque chose. Un jour, en une occasion un peu officielle, le cardinal Lustiger m’a même amicalement reproché d’y céder parfois. Il est vrai qu’en d’autres occasions il m’en remerciait plutôt et il lui arrivait de regretter trop de réserves (pas nécessairement de ma part, mais quand même) lorsque l’Église était secouée, la crise actuelle ayant eu des précédents. On l’oublie un peu vite… Je ne crois pas qu’il y ait une bonne « mesure de la polémique », même si certaines invectives nous sont interdites. L’essentiel est l’esprit qui l’inspire et qui devrait se distinguer par le refus d’une complaisance qui trahirait la cause que l’on sert.
Ce n’est qu’un aspect de l’examen de la situation de l’Église dans le monde d’aujourd’hui, étant entendu que ce monde est lui-même une immense énigme. Enfin, l’habitude qui s’est créée d’en appeler sans cesse à Vatican II ne saurait se réduire à un pur réflexe, à une sorte de tabou pieux qui dispenserait d’y aller voir de plus près. Il y a d’ailleurs un gros risque : celui d’une dévalorisation du Concile après qu’il a été survalorisé. Je pressens un travail considérable dont il faudrait esquisser le programme. Exemple : Gaudium et Spes serait à réécrire pour une bonne part, étant sauve la partie la plus doctrinale, rédigée d’ailleurs à l’initiative de Mgr Wojtyla, un des rares évêques à avoir perçu, sur le moment, la mise au point théologique qu’exigeait la mutation des rapports entre l’Église et la civilisation. Déjà, sur le moment, il y avait vive opposition entre l’optimisme historique de l’épiscopat français et la conception plus tragique de l’épiscopat allemand. On était encore dans l’euphorie largement partagé des trente glorieuses et la perspective d’un développement indéfini s’imposait en harmonie avec toute une idéologie du progrès. Il est d’ailleurs possible que l’encyclique sociale annoncée et retardée corresponde à cette nécessaire correction de trajectoire où le défi écologique serait pris en compte, avec l’effondrement d’un système économique qui n’a fait que suivre la chute du système soviétique.
Même la philosophie politique est à reprendre à partir d’un réexamen de la problématique maritanienne qui a inspiré tout le catholicisme social d’une grande partie du vingtième siècle. Et de ce point de vue, en dépit de travaux essentiels sur lesquels il faudra s’appuyer, il faudra refonder et explorer de nouvelles voies. Je suis heureux de pouvoir enfin disposer à ce propos, de la traduction française (réalisée par les soins de Sœur Cécile et de la regrettée Jacqueline Rastoin, ce qui me touche beaucoup) du premier ouvrage de William Cavanaugh intitulé Torture et Eucharistie (Ad Solem. Théologie). J’avais déjà lu d’autres textes de ce théologien laïc américain ; ils se rapportaient tous à cet ouvrage inaugural composé dans le climat de la dictature d’Augusto Pinochet au Chili. Le contexte particulier de cette période et de la culture propre au catholicisme latino-américain n’enferme pas l’essai de Cavanaugh dans une contingence qui nous serait étrangère à nous autres Français ou Européens. Bien au contraire, la référence maritanienne y est centrale, étant commune à toutes les sensibilités qui l’interprètent selon leur tropisme, de droite, de gauche, ou du centre. Et l’impasse décrite nous renvoie à nos propres difficultés, notamment à l’effondrement de l’Action catholique, qu’il me semble avoir compris avec une netteté nouvelle.
Pour William Cavanaugh, la question est celle de la dissolution de l’Église comme corps eucharistique réel dans la sécularisation et sous le joug du système étatique tout puissant. L’emploi abusif de l’expression « corps mystique » a abouti à cette déréalisation dont la conséquence était l’effacement du corps eucharistique dans l’indifférenciation de l’unique corps social maîtrisé par la puissance publique. Cette dernière ne pouvait admettre, par ailleurs, l’existence de corps distincts d’elle-même, ne reconnaissant que les seuls individus. Dès lors, que pouvait bien devenir une Action catholique, privée de légitimité propre et qui n’aspirait plus qu’à des engagements civiques se réclamant de la seule sécularité ? La vague inspiration chrétienne qui subsistait ne pouvait plus suffire à maintenir l’existence d’associations appelées par des idéologies souvent étrangères à la foi. Yves Floucat me fait remarquer à ce propos que la trop célèbre distinction de Jacques Maritain entre « agir en chrétien » et « agir en tant que chrétien » s’est trouvée dénaturée, la fin de la référence explicitement chrétienne aboutissant à l’extinction de l’inspiration évangélique.
Je sais bien que l’analyse très rude, que Cavanaugh pose des problème. Il opère en s’attaquant à des tabous contemporains comme la laïcité aujourd’hui largement intégrée par les chrétiens eux-mêmes qui, parfois, en remettent dans la célébration de la bienheureuse sécularité. Mais on doit reprendre le fil même de la philosophie politique de Maritain : « Bien qu’il souhaite, écrit Cavanaugh, purger le langage des droits de son fondement libéral et situer son inspiration dans l’évangile, cet évangile qui court le danger d’être supplanté, s’il n’est plus mentionné explicitement dans le discours public. De même qu’un langage d’immigrés se mourra s’il n’est pas parlé en dehors de la maison, de même le langage chrétien finira par cesser de fournir « l’inspiration » pour le langage des droits tant qu’une telle inspiration restera enfermée à l’intérieur de l’âme humaine. »
Cavanaugh pense que c’est ce qui s’est passé au Chili pour le catholicisme et je ne suis pas loin de penser que la même chose a eu lieu chez nous. On ne se convertit pas impunément au langage séculier, parce qu’on finit par adopter sa philosophie. N’est-ce pas ce qui s’est passé pour bon nombre de militants chrétiens dont l’engagement séculier a fini par épuiser la sève chrétienne ? Je sais bien qu’il est presque scandaleux d’imputer pareil glissement à la pensée de Maritain, lui-même si profondément évangélique jusqu’à la mystique. Un véritable saint laïque. Mais je ne suis pas sûr non plus que le vieux Jacques redivivus n’accorderait pas beaucoup de points à son intrépide critique. D’ailleurs le maritanien sérieux qu’est Michel Fourcade n’est pas loin de le dire explicitement dans la post face qu’il donne à cette traduction de Torture et Eucharistie.
7 mars
On sait que Willian Cavanaugh se sent proche de la mouvance Radical Orthodoxy où il retrouve la filiation lubacienne fondamentale, celle qui empêche toute séparation de la nature de l’homme et du surnaturel. Je ne suis pas mécontent que l’hebdomadaire protestant Réforme s’intéresse à ce courant auquel il consacre plusieurs pages. Ce doit être une découverte pour beaucoup, et je m’attends à des réactions de surprise et même d’incompréhension et de révolte de la part d’un certain nombre de lecteurs qui vont être décontenancés. Mais le fait même de la publication de ces pages constitue un signe d’une possible communauté d’intérêt entre chrétiens de diverses confessions pour une question impérative, celle de la vitalité chrétienne dans le monde d’aujourd’hui, une vitalité spécifique qui ne peut être que sacramentaire et eucharistique, et qui doit donner lieu à la visibilité du corps réel de l’Église.
On conçoit que ce type de renouveau intégraliste suscite la crainte d’un durcissement doctrinal, et ceux qui le connaissent mal seront tentés de l’assimiler à une forme de fondamentalisme. Mais ce n’est nullement le cas. Pour plusieurs raisons, la première étant que l’approfondissement qui est au départ du courant se signale par une exceptionnelle intelligence de la tradition théologique, inventoriée dans toutes ses strates et dans un rapport critique qui exclut toute espèce d’affirmation butée ou non élaborée. La seconde raison tient à une intégration de la pensée moderne, y compris dans ses développements post-modernes, ce qui exclut le refus du présent et des provocations intéressantes des penseurs intempestifs. Au contraire !
Mais il est vrai, en revanche, que Radical Orthodoxy s’oppose de front à une lecture sociologique du monde qui réduit la pensée et la vie à un paradigme étroit. Il est certain que la non-pertinence du christianisme, telle que la décrète Madame Hervieu-Léger n’impressionne aucun de ses représentants. Il s’agit d’une école qui se déploie à l’encontre de toute réduction sociologique ou idéologique. Tout commence par une décision spirituelle qu’on ne saurait exactement définir comme un « déni du monde présent ». Mais comme une liberté radicale prise à son égard pour s’engager, sans crainte, dans l’eschatologie, donc le monde à venir.
Un récent essai sur Romano Guardini se signale aussi par une telle rupture instauratrice, qui permet de poser la question de l’appel du Christ dans une perspective de conversion radicale et non d’adaptation culturelle (L’Esprit du Christianisme, Introduction à la pensée de Romano Guardini par Grégory Woimbée, Ad Solem-Culture). Dommage que ce livre soit un peu compliqué, car il s’engage sur un chemin que devraient pratiquer ceux qui veulent s’engager à la suite du Christ en se gardant des pièges dans lesquels on se prend si facilement. Exemple : « La pastorale issue de la sociologie cherche à trouver les modes et les tendances dans un anachronisme constant – car elle n’est jamais totalement contemporaine de son objet – tandis que la Weltanshaung guardinienne – véritable alternative – précède le mouvement, n’essaie pas d’anticiper ce que sera demain, mais de construire l’aujourd’hui dans la gratuité du lendemain. »
Je dirai que la question est de passer de Hans Küng à Romano Guardini, en ce sens où le maître de Balthasar et de Ratzinger nous fait sortir d’un vain ressassement sociologique pour nous introduire dans le mystère.
Autre image, peut-être encore ardue mais significative : « Là où le sociologue tente vainement de décoller une à une les tesselles de la mosaïque, il s’arrête un peu pour la contempler, parce qu’il sait qu’elle contient la vie, qu’elle est son présent. »
9 mars
Voilà des années que je retourne dans ma tête les difficultés de la communication, notamment à propos de la transmission d’informations qui ne rentrent pas facilement dans le logiciel d’un système complexe mais idéologiquement très cadré. Il ne faudrait pas s’imaginer que le Pape est indifférent au problème. J’ai retrouvé quelques pages du Sel de la terre où le cardinal Ratzinger s’expliquait à ce sujet avec le journaliste Peter Seewald. Il reconnaît que le défaut d’un « manque de communication » repose souvent sur les responsables d’Église qui emploient un langage non accessible et sont bridés par un intellectualisme qui ne tient pas compte de la perception de leurs auditeurs.
Le cardinal était aussi conscient que l’on ne retenait généralement de l’Église que des interdits moraux, principalement sexuels, et qu’il pouvait y avoir saturation, surtout lorsque l’on ne fait pas la liaison nécessaire entre la Vérité et l’Amour. « Cela, ajoutait-il, vient aussi de la sélection qui est opérée et transmise par les médias. » Combien de fois j’ai pu le constater sur le terrain ! Les médias ne s’intéressent qu’aux interdits et ils ne cessent de les amplifier en écho, à travers des formules stéréotypées qui ne figurent même pas dans les documents dont ils sont censés rendre compte.
Est-ce à dire que le pape Benoît XVI répond adéquatement aux avertissements du cardinal Ratzinger ? L’interrogation est légitime. On a souligné à plusieurs reprises des erreurs et même des gaffes tout à fait contre-productives. Je pense au prologue de la conférence de Ratisbonne qui provoqua une immense vague de colère dans les pays musulmans. Un spécialiste consulté aurait immédiatement averti du danger. Il en va de même de l’affaire Williamson qui aurait dû être réglée dans la journée même par une intervention opportune de la salle de presse du Saint-Siège. Sous Jean-Paul II, le docteur Navarro Vals était particulièrement rompu à ce genre d’exercice. Il faut espérer qu’on va tirer profit de ces expériences malheureuses à Rome mais il ne faut pas se faire d’illusions excessives. On n’éliminera pas tous les conflits et on ne préviendra pas toutes les tempêtes. Si tout se passait merveilleusement, sans crises et sans éclat, il faudrait commencer à s’inquiéter sérieusement. C’est qu’on aurait perdu l’Évangile en route.
12 mars
Vitesse redoutable de la communication. Nous vivons dans l’instantanéité et la globalité, ce qui fait qu’un événement qui s’est produit de l’autre côté du monde est immédiatement connu, devient objet de scandale universel avant même qu’on ait eu le temps d’enquêter sur l’objet du scandale. En effet si le réflexe est primaire, la réflexion est secondaire. Elle est donc en situation d’infériorité dans la communication. On s’aperçoit seulement plusieurs jours plus tard que les choses étaient infiniment plus complexes. Mais qui entendra la différence alors que l’impulsion initiale a produit sa marque et qu’il est très difficile de lutter contre l’affect qui a pris (durablement) possession de la conscience ?
14 mars
L’essai de Régis Debray, Le moment fraternité (Gallimard) reprend une problématique familière à l’auteur développée depuis longtemps et dont l’élément moteur est la primauté de l’existence sociale. Qu’il privilégie le troisième terme de la trilogie républicaine n’étonne donc pas. J’attends en revanche des répliques argumentées à la charge que Debray conduit contre l’idéologie des droits de l’homme, ou plus exactement ce qu’elle est devenue. Il est vrai que les États-Unis sont visés directement et qu’ils en prennent pour leur grade. Les idées, pour notre philosophe-médiologue, ne vivent pas en l’air, elles sont incarnées dans des institutions, des traditions, des marqueurs sociaux. Le problème est de déterminer si la ROC (Religion de l’Occident Contemporain) peut tenir le coup longtemps. On peut en douter, tout en se demandant par quoi on pourrait bien la remplacer.
Je suis d’accord avec l’ami Régis sur beaucoup de points et reconnais son talent pour ironiser socratiquement sur les faux-semblants – et ainsi jeter des éclairs sur bien des aspects de la comédie sociale. Il y a un style Debray qui ne cesse de jouer de la culture, qui est son lieu naturel, en multipliant les clins d’œil, en surfant sur les mots signifiants à multiples facettes. Et cela nous vaut une étonnante analyse des réalités qu’ils tirent de leur béate satisfaction ou de leurs trop lisses apparences. Exemple : « Avec la découverte des droits de l’homme comme remède au totalitarisme, le bonheur des riches ne faisait plus des malheurs aux pauvres. Mieux : le salut de ces derniers étant suspendu à la grandeur d’âme des premiers, l’ancien garde-chiourme devenait le champion des forçats. Qui ne préfère la bonne à la mauvaise conscience ? Il ne faut jamais sous-estimer – relire Pascal et la Rochefoucauld- la revanche jubilatoire des amours propres dans le choix de nos abnégations. » Résultat : l’idéal de la ROC est devenu « le fief de la bonne conscience et de la mauvaise foi ».
Est-ce à dire que cette ironie dévastatrice débouche sur un pessimisme accablant ? L’exercice de lucidité, même s’il est drôle dans la forme, est toujours débilitant sur le fond. Cela pourrait nous conduire à la noirceur absolue d’un Émile Cioran, contempteur du genre humain, avec des risques de dérapages dans le mépris de notre condition et le regard assassin sur l’autre. Ce n’est pas le cas, ici. La charge la plus forte ne va jamais sans justice rendue à ce qu’il y a de légitime dans une cause qui se fourvoie : « L’observation des temps forts du juridisme éthique montre bien où est sa vertu : non dans sa force de proposition mais dans sa fonction éminemment protestataire de refus et de barrage à l’insupportable. Là est sa légitimité profonde. Là aussi sa sophistique – non parable en terme d’opinion. Ce à quoi nos croisés répliquent est si odieux que refuser de s’aligner sur eux revient à absoudre l’indéfendable… »
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Note de la rédaction
Depuis plusieurs années maintenant nous publions, plus ou moins régulièrement, des pages du journal littéraire de Gérard Leclerc où il note, dans des cahiers d’écolier, avec sa haute écriture, très belle de loin et difficile à déchiffrer de près, sans aucune rature… ses impressions au fil de ses nombreuses lectures quotidiennes.
Une partie de ce journal a été publiée dans les colonnes de l’hebdomadaire France Catholique. Une partie, plus importante, sur notre site et sur le site personnel de Gérard Leclerc organisé par un de ses fils. Une partie restera sans doute dans ses cahiers manuscrits faute de temps pour les dactylographier…
Certains de nos lecteurs ont exprimé le désir de retrouver ce journal sous forme de livre, et pourquoi pas de livres annuels. Cependant le projet a rencontré le scepticisme des éditeurs amis auquel j’ai pu en parler et même de l’auteur lui-même…
C’est pourquoi je lance cet appel. Achèteriez-vous un volume reprenant une année de journal de Gérard Leclerc ? C’est un livre qui pourrait être vendu dans les 25 euros et qui pourrait paraître en décembre ou janvier prochain.
Si oui, répondez-moi à cette adresse en m’indiquant très précisément votre adresse et votre numéro de téléphone afin que je puisse vous tenir au courant de la suite éventuelle de mon idée. A moins de 500 réponses, il risque de ne pas se passer grand chose…
frederic.aimard@gmail.com
Petite indication pratique : je reçois les premières réponses pas très nombreuses mais enthousiastes. Elles viennent des amis les plus proches de Gérard Leclerc, de France Catholique ou de moi-même. Elles ne me satisfont pourtant pas entièrement. J’ai bien demandé qu’on me donne une adresse postale complète (celle où le livre sera ultérieurement envoyé) et un numéro de téléphone. Il s’agit en effet pour moi de constituer à moindre travail une liste des personnes susceptibles d’être associées à ce projet. Merci de ne pas m’obliger pour chacun à aller rechercher ces renseignements utiles sur le fichier des abonnés du journal ou sur mon carnet d’adresses personnel. Oui j’ai vos adresses quelque part, mais je n’ai pas le temps de faire ce travail que je vous demande de faire à ma place. Amitiés à tous.
Pour aller plus loin :
- Le défi du développement des peuples et le pacte de Marrakech - la fuite en avant des Nations Unies
- Jean-Paul Hyvernat
- La paternité-maternité spirituelle en vie monastique est-elle menacée en Occident ?
- LA « MODERNITÉ » : UN CENTENAIRE OUBLIÉ
- EXHORTATION APOSTOLIQUE POST-SYNODALE « AFRICAE MUNUS » DU PAPE BENOÎT XVI