La lettre de liaison, que beaucoup d’entre vous reçoivent, est un canal essentiel de notre influence. Elle constitue à bien des égards un média à part entière qui dit des choses que, pour des raisons de présentation, de délais, de ligne éditoriale et de public, le journal papier ne dirait pas aussi longuement, de la même manière, avec autant de liberté… Cela dit elle est aussi une porte d’entrée vers notre magazine, et ses rubriques que nous ne mettons pas en ligne (actualité politique et littéraire, etc.)…
Cette lettre de liaison mérite d’être mieux connue. Nous n’avons aucun autre moyen que vous pour la faire découvrir à de nouveaux amis. C’est pourquoi nous vous demandons de la répercuter, aussi souvent que cela vous semble possible à votre carnet d’adresses. C’est uniquement comme cela que nous voyons arriver chaque semaine de nouveaux lecteurs.
Il faut savoir que nous n’envoyons la lettre qu’aux « abonnés » actifs, c’est-à-dire qui ouvrent nos courriels régulièrement. Du coup, certains amis nous disent : « Nous ne recevons plus vos lettres. Est-ce normal ? ». Oui, c’est programmé ainsi. Si vous n’ouvriez pas nos courriels, nous ne vous en envoyons plus.
Mais de temps à autre une piqûre de rappel peut-être efficace. C’est pourquoi les amis qui répercutent nos lettres même à des gens qui nous connaissent déjà, ne font pas œuvre inutile.
Merci donc de continuer, ou de recommencer, à diffuser la lettre de liaison de France Catholique.
Pour aller plus loin :
- Le défi du développement des peuples et le pacte de Marrakech - la fuite en avant des Nations Unies
- Vladimir Ghika : le contexte politique avant la guerre de 1914-1918
- La paternité-maternité spirituelle en vie monastique est-elle menacée en Occident ?
- L’ÂME PERDUE
- LA « MODERNITÉ » : UN CENTENAIRE OUBLIÉ