Pauvres gens que les gens de la Gauche médiatique - France Catholique
Edit Template
La justice de Dieu
Edit Template

Pauvres gens que les gens de la Gauche médiatique

Copier le lien

Il y a vraiment très longtemps que je soupçonnais – mot élégant… – l’étendue de la sottise du sieur Pierre Bergé mais ces derniers temps le richissime petit copain d’Yves Saint-Laurent nous a donné un spectacle inoubliable tant la sottise – une nouvelle fois je me refuse à user du seul mot pourtant qui conviendrait – paraissait impossible à mâtiner d’un peu de raison. Il est vrai qu’en la gauche d’aujourd’hui on s’imagine avoir le droit d’user des pires insultes lorsque l’on s’adresse à ces « pauvres types » de droite : les exemples ont foisonné depuis l’élection de François Fillon, d’autant qu’ils pouvaient marier l’infâme descendant du monde nazi avec l’infernale catholicité…

Cher lecteur, vous avez le droit et peut-être même le devoir de faire connaître au monde entier qu’en France réside le plus incongru des dénicheurs de prétendus mauvais bougres qu’il renifle mieux qu’un chien-loup. Le dernier en date, qui certainement en sucera les os pensant cinq longues années en entrant au sein du Palais élyséen, n’est autre que le distingué et très calme François Fillon.

Cela vaut la peine d’étudier le « répertoire bergerin » dont il use sans restriction : je cite d’abord une fort longue phrase qui lui a coûté, me semble-t-il au moins trois nuits d’un labeur intense :

« Voter Fillon, a-t-il écrit sur l’Internet, c’est voter pour la France réac, la Manif pour tous, qui m’a menacé de mort. La France pétainiste. Quand va-t-on à Vichy ? ».

Le pire est qu’il croit que les Français vont croire en ces tristes verbiages assaisonnés de mensonges. Basile de Koch lui suggère de citer pire encore : Sigmaringen et même, pourquoi s’arrêter en si bon chemin, Nuremberg !

Mais l’ordure que l’inénarrable équipe du canard « Libération » « pense » nous envoyer en plein cœur rien de plus qu’une nouvelle preuve de la haine (immonde, assurément) qu’il voue au Christ, en somme simple crachat verdâtre récupéré chez les anarchistes de la fin du XIXe siècle : « Au secours, Jésus revient ! ». Le jour où en effet Il reviendra, tous ces mercenaires de la dégoûtation feront bien d’aller aussitôt rendre visite au premier confesseur encore présent sur cette terre afin d’être au plus vite lavés de toute la morve qu’ils ne cessent d’accumuler dans leurs narines, leurs yeux, leur bouche, leurs poumons et, pourquoi pas, dans leur estomac et leurs intestins1..

Ce dont il faut se rendre compte que toutes leurs insultes démontrent qu’elles ne sont que l’effroi torride qui accable leur cerveau : songez, lecteurs, que depuis les soixante-dix ans, pour le moins, que tous ses beaux esprits ont porté les oripeaux des maîtres de la France, qui ont éduqué, fort mal, nos morveux ; conçu les programmes « culturels » des radios et télévisions ; marché sur les moquettes rouges des Maisons de la Cuculture ; formé un par un 90% des journalistes de France dans leurs écoles strictement gauchisantes, songez donc de quel effroi leur cerveau habitué aux éloges les plus vils se trouve aujourd’hui surpris ? Songez qu’il leur faut, tout en reculant, inventer les mensonges les plus odieux afin de, peut-être, empêcher François Fillon d’accéder à ces richesses qui sont à eux, à ces Pouvoirs empreints de toute leurs sciences galvaudées, de toutes leurs œuvres qu’ils pensent nobélisables, alors qu’ils ressentent l’horreur intestinale en découvrant que ce probable et prochain Président de la République n’est, croient-ils, qu’un effroyable « faux-modéré, un fasciste » pire à lui seul que toutes les troupes du sieur Hitler – pauvre type qui n’était sans doute qu’un amateur… – ; plus grave encore – « abyssus abyssum invocat »2 – un « catholique extrémiste »3 sans oublier bien entendu qu’on n’a jamais vu un tel raciste plus décidé à nuire aux migrants, une antisémite adorateur des chambres à gaz.

J’exagère ? Certainement, mais paradoxalement inquiet d’exagérer beaucoup moins qu’on ne le pense…

  1. Pour Rimbaud la morve n’était que l’écoulement du cadavre en putréfaction
  2. « L’abyme appelle l’abyme. »
  3. Simple pléonasme… Libération n’aime les cathos que lorsqu’ils sont hérétiques… ou mâtinés de marxisme…