L’attribution du prix Nobel de la Paix au Président Obama a surpris. Il a certainement le mérite de vouloir faire bouger les choses au Proche-Orient, comme l’a indiqué son discours au Caire en juin dernier. Mais du désir à la réalisation, il y a du chemin. Je ne le critique pas car il a mis le doigt sur bien des causes de ce conflit qui est en train de s’éterniser. La question qui se pose est de savoir s’il a les moyens de sa politique et si les puissances régionales et les autres acteurs sont décidés à agir dans le sens de la paix durable.
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