En 2018, le Nicaragua a été le théâtre d’affrontements intenses et violents entre le gouvernement et des groupes d’opposition pendant environ trois mois, du 18 avril à mi-juillet, faisant des centaines de blessés et, selon les sources, de 150 à 500 morts. L’Église a joué un rôle décisif pour éviter qu’il y ait encore plus de victimes à déplorer. Entretien avec Marco Mencaglia, responsable du département de l’Amérique latine au sein de l’AED, de retour du Nicaragua.