Migrants ou mutants ? L’eau de Cologne était devenue amère - France Catholique
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La justice de Dieu
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Migrants ou mutants ? L’eau de Cologne était devenue amère

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Si l’on se réfère aux récits des principales intéressées, tant les femmes d’Outre-Rhin accostées plutôt brusquement que la police allemande intervenue en catastrophe, il ne faisait pas bon fréquenter la gare centrale de Cologne ou les alentours de la plus belle cathédrale de Rhénanie tard dans la soirée du 31 décembre dernier. En cette nuit de la Saint-Sylvestre, des groupes d’hommes, des hommes de 18 à 35 ans qui, pour la plupart, n’étaient pas des hommes blonds aux yeux bleus, s’intéressaient de très près à la gent féminine du cru : la plupart semblaient, dit-on, dans cet état d’euphorie, et même d’excitation, que communique l’absorption de boissons alcoolisées en quantité importante, voire de substances narcotiques chères aux toxicomanes. C’était la fête, dira-t-on… Mais de qui faisait-on la fête, au fait ? La fête des Européens de souche, peut-être… ? En l’occurrence, la fête de nos cousins germains…

Selon plusieurs témoignages émanant en particulier de la police allemande et recoupés par la Presse d’Outre-Rhin (Kölner Stadt Anzeiger, Die Welt, et le Spiegel), plusieurs centaines hommes « d’origine arabe et africaine » se sont montré très entreprenants, vis-à-vis des femmes qu’ils rencontraient en cette nuit fatidique, des attouchements de mains baladeuses jusqu’à plusieurs agressions sexuelles, et cela non seulement dans la métropole rhénane, mais aussi à Hambourg et à Stuttgart. D’après plusieurs sources, il s’agirait de bandes coordonnées. Migrants ou mutants régressifs déjà installés dans le Heimat des Gretchen et sombrant dans une délinquance alcoolisée – mais glaçante – à l’heure du Nouvel An sous les douze coups de Minuit ?

Soudain, à l’heure de la fête de la Grande Europe de la mondialisation ouverte à tous vents, l’eau de Cologne était devenue amère.

Mme la Maire de cette belle ville sinistrée, Frau Reker, la main sur le cœur, ne veut stigmatiser personne : mais, « Grosse Sorge », la brave dame se fait « du souci » pour le prochain carnaval de Cologne. Sans attendre le moindre complément d’enquête, elle met, un peu vite, l’immigration hors de cause. Mais elle demande à l’avance aux femmes allemandes d’adopter à l’avenir une attitude « préventive » dans les rues de leur patrie rhénane. Pas de coup de rein intempestif, ni de tenue provocante ? Alors, pourquoi ne pas préconiser le port général du Niqab et du Tchador, comme en Arabie saoudite, ou jadis dans le Kaboul des Talibans ?

« Et je m’en vais / Au vent mauvais / Qui m’emporte / De çà, de là / Pareil à la / Feuille morte », écrivait jadis, mélancolique, le poète maudit Paul Verlaine, à la fin de sa Chanson d’automne : ce n’était pas un message d’avenir…