Les trésors cachés de la Nouvelle Djoulfa : les églises arméniennes d’Ispahan (Iran) - France Catholique
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Les trésors cachés de la Nouvelle Djoulfa : les églises arméniennes d’Ispahan (Iran)

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Dimanche 31 mai 2015 de 9h30 à 10h00

Documentaire écrit par Thomas Wallut et Michel Carrier

Réalisation Michel Carrier

La thématique rédactionnelle de Chrétiens Orientaux est consacrée à la Foi, aux Traditions et aux particularités des Eglises Orientales en France et dans les pays de l’Eglise « mère » (Arménie, Egypte, Ethiopie, Irak, Inde, Jordanie, Liban, Roumanie, Syrie, Terre Sainte, Turquie, Ukraine….). Le contenu est réalisé sous forme de reportages d’actualités, de documentaires, d’offices liturgiques et de plateaux.

Chrétiens Orientaux a un double objectif : permettre aux fidèles (plus de 600.000 en France – un chiffre qui continue à progresser fortement en ce moment) d’être en lien avec leur Eglise et de faire découvrir la foi et le dynamisme de ces Eglises à d’autres chrétiens ou non chrétiens.

Elle rend compte aussi de la situation de vie des chrétiens dans les pays où leur survie est menacée…

La Périodicité sur l’antenne de France 2 est de 17 émissions par an soit un dimanche sur 4 de 9h30 à 10h00 (30 minutes) et les fêtes (dates du calendrier grégorien) : Noël, Ascension, 15 août et le 1er novembre. Il faut ajouter à cela la participation à l’émission œcuménique du mois de janvier et à la matinée interreligieuse.

« Les trésors cachés de la Nouvelle Djoulfa : les églises arméniennes d’Ispahan (Iran) »

Documentaire écrit par Thomas Wallut et Michel Carrier
Réalisation Michel Carrier.

Ce film est le deuxième volet de deux documentaires exceptionnels sur les arméniens d’Ispahan.

Au XVIIe siècle, les marchands arméniens sillonnaient le monde pour vendre la soie persane. Ils ont ramené avec eux des Bibles européennes, et ont demandé aux artistes d’Ispahan de les adapter pour réaliser des fresques d’une beauté incroyable. Dans ces œuvres on observe une inspiration occidentale mais aussi les codes de la tradition iconographique arménienne avec un décor influencé par celui des mosquées. Ces fresques sont un des premiers exemples de la mondialisation…

Les arméniens d’aujourd’hui vivent et prient dans ces magnifiques églises où l’âme et la nostalgie arménienne sont toujours présentes. Un peuple à part au milieu de la ville iranienne musulmane.

Avec la participation de : Jean-Pierre Mahé (de l’Institut de France), Armen Tokatilian et Vrej Der Mardirossian (historiens d’Ispahan), Sarah Laporte (historienne de l’Art) ainsi que les arméniens de la « nouvelle Djoulfa ».