Depuis qu’elle a déménagé, l’inconsistante Cécile Duflot, ex-Ministre du Logement du gouvernement de l’Etat-PS, se sent une femme libérée de toute contrainte. Après avoir claqué la porte du Conseil des ministres où elle semait déjà régulièrement la zizanie au nom de ses lubies d’ « écologiste » utopique, elle publie un livre où elle insulte bassement le Président de la République François Hollande : ceci revient aujourd’hui, sinon à tirer sur une ambulance, du moins à frapper un homme à terre, au plus bas dans les sondages. Rien de bien glorieux là-dedans…
Madame Duflot déclare que François Hollande « n’est le président de personne »… Elle oublie seulement qu’il a quand même été élu au printemps 2012 par une majorité de citoyens français, même si beaucoup s’en mordent les doigts. Quant à elle, elle n’a été élue par personne. Elle a été seulement choisie malencontreusement, ou admise mollement, par ledit président Hollande et ses conseillers du Parti socialiste, dans une alliance calamiteuse avec le groupuscule écolo-gauchiste « Europe-Ecologie-Les Verts ».
Elle fait partie des individus irresponsables qui sabotent régulièrement les possibilités de renouveau des ressources énergétiques de la France, en racontant n’importe quoi sur l’hypothèse de l’utilisation du gaz de schiste. Elle avait aussi intenté un mauvais procès à l’Eglise à la manière de 1793 et de 1917 à propos de logement, sans aucune enquête sérieuse préalable. Mêlant le ridicule à l’odieux.
En intitulant son pamphlet « voyage au pays de la désillusion », Cécile Duflot ment effrontément : elle n’a jamais eu la moindre illusion, sauf sur elle-même. Elle est simplement cynique, et d’un cynisme sordide et prétentieux. D’une ignorance notoire, elle qui situait le Japon dans l’hémisphère Sud de la planète, elle semble méconnaître également les règles élémentaires de la décence. Ce qui, même dans la faune politique actuelle, peut se révéler néfaste, en faisant perdre le Nord en même temps que toute dignité, aux yeux même de ses propres petits camarades de clan.
D’autres écologistes viennent en effet de la désavouer dans son Ego qui l’aveugle. Un petit Ego démagogique qui risque de la faire déloger de beaucoup d’endroits, malgré son virage vers une ultra-Gauche utopiste aux comportements fumeux et aux rêves de paradis artificiels délétères où on chante faux. Vers le développement hélas durable de la précarité morale et culturelle la plus spongieuse.
La jeune Cécile Duflot est une petite-fille égarée de la génération de Mai 68 partie à la retraite, les uns dans le Marais, les autres dans divers marécages, parfois jusqu’aux Iles Caraïbes. Tout ce qu’elle reproche à François Hollande, au fond, c’est de ne pas être aussi irresponsable qu’elle… Avec de telles recrues politiques, l’union de la Gauche, cette Arlésienne cacophonique sur disque rayé, devient très vite un nouveau Radeau de la Méduse.
