Réjouis-toi, Marianne, ça va être ta fête ! Le régime socialiste de M. Hollande a trouvé son effigie symbolique et peut-être une égérie emblématique. En ce lendemain de 14 juillet, la République française reçoit en pleine figure un nouveau timbre inspiré du visage d’Inna Chevtchenko, la dirigeante ukrainienne des « Femen », ces agitatrices nihilistes, ouvertement antichrétiennes et prétendument féministes qui, exhibant leurs seins nus, ont agressé des défenseurs du mariage et de l’enfance et des représentants de l’Eglise.
Le dessinateur français du nouveau timbre de la République socialiste, Olivier Ciappa, peintre et photographe, partisan déclaré du « Mariage homosexuel », a reconnu publiquement avoir fait ce choix, après avoir d’abord pensé mélanger les traits de… Christiane Taubira et de Roselyne Bachelot. Utopie, démagogie et agitation racoleuse sont à l’honneur dans ce régime de décadence.
Ainsi mise en valeur par le régime de M. Hollande, l’experte en agitation dégradante Inna Chevtchenko a déclaré dans son style élégant et respectueux : « Femen est sur le timbre français : maintenant les homophobes, les extrémistes et les fascistes (sic) devront lécher mon cul (sic) quand ils voudront envoyer une lettre ! » Pas si sûr ! Une campagne de boycott reste possible contre cette nouvelle provocation, qui est peut-être la provocation de trop dans une France au bord de la nausée devant tant d’abjection, dans un contexte où l’argent des citoyens contribuables est utilisé pour les humilier. Ce timbre estampillé « Femen » pourrait être le crachat de trop, de la part de la Gauche Caviar et des bourgeois bohêmes, qui ne semblent pas s’apercevoir qu’ils dansent sur un volcan.
La militante Inna Chevtchenko avait dû quitter l’Ukraine pour avoir découpé à la tronçonneuse une grande croix placée au centre de Kiev à la mémoire des victimes du communisme. Non seulement elle crachait sur les tombes des martyrs, mais, néo-bolchevique, elle détruisait le signe glorieux de leur Salut éternel. Et c’est la France « laïque » qui lui accorde aujourd’hui un étrange asile politique… Le manifeste de son mouvement « sextrémiste » des Femen, dont le local a été gracieusement fourni par la mairie PS de Paris, annonce en toute clarté : « Notre ennemi, c’est l’Eglise ». Bizarrement épargnées par la police sous contrôle politique du régime socialiste français, les Femen ont envahi Notre-Dame de Paris pour se livrer à des provocations blasphématoires. Elles se recommandent du mythe antique des « Amazones » et se disent « capables d’ébranler les fondations du monde patriarcal par leur intellect, le sexe, l’agilité, de répandre le désordre, d’apporter la névrose et la panique dans le monde des hommes ».
Une de leurs affiches de lutte des sexes représente une femme brandissant un sexe masculin qu’elle vient de couper avec une faucille sanguinolente. Ces outrances et ces provocations indécentes avaient suscité le mouvement de protestation des « Antigones », de courageuses jeunes femmes qui défendaient la vraie dignité féminine, mais dont les petits Créons du système politique et leurs médias ont cherché à étouffer la voix ou à déformer les propos.
Il ne reste plus à l’excellent M. Hollande, apparemment résolu à tout admettre, qu’à laisser changer la devise de « sa » République : « Liberté, Egalité, Fraternité » ? Mais non ! Désormais, cela pourrait devenir : Démagogie, Indifférence, Complaisance. Quitte à tout faire subir à un peuple méprisé.
http://femen.org/fr?attempt=1
Pour aller plus loin :
- Liste des ouvriers pastoraux, Evêques, Prêtres, Religieux, Religieuses et Laics tués en 2011 et 2010
- Le défi du développement des peuples et le pacte de Marrakech - la fuite en avant des Nations Unies
- Devant les « Femen », la cécité sélective du ministre Valls
- SYRIE : ENTRE CONFLITS ARMES ET DIALOGUE INTERNE
- La France et le cœur de Jésus et Marie