En ce moment même où la France, comme l’Europe occidentale, a besoin de renforcer sa puissance économique en particulier en matière d’indépendance énergétique, en pleine crise politique internationale, un commando de « Greenpeace » vient d’envahir la centrale nucléaire de Fessenheim. La gendarmerie a dû interpeller une cinquantaine d’activistes très bien entraînés qui avaient réussi à pénétrer à l’intérieur de l’enceinte de cet établissement, jusqu’au-delà d’un deuxième niveau de protection, sous prétexte d’évoquer la question récurrente de risques écologiques jamais démontrés sur notre territoire…
En outre, cette action déstabilisatrice a reçu le soutien explicite du groupuscule politique d’ultra-gauche EELV (« Europe-Ecologie-Les Verts ») qu’étrangement le président François Hollande a accepté comme allié politique de son parti au point d’admettre certains de ses membres comme ministres au sein de son propre gouvernement… Curieux amis, que ces militants extrémistes qui sabotent l’effort d’indépendance énergétique de la France et qui en même temps s’accrochent au gouvernement de l’Etat-PS comme une huître indigeste à un rocher instable… Quand donc M. Hollande se décidera-t-il à mettre ces parasites de la « gouvernance socialiste » devant leurs contradictions et donc devant leurs responsabilités ? En République, le patriotisme élémentaire appelle parfois à faire entonner le « Chant du Départ »…
