France Catholique numérique - des enjeux compliqués - France Catholique
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Funérailles catholiques : un temps de conversion
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France Catholique numérique – des enjeux compliqués

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Nous avons lancé plusieurs appel ici même il y a quelques jours pour expliquer à nos amis (qui sont les auteurs de 2000 à 4000 clicks chaque jour sur nos différents articles quotidiens — ce n’est pas une fréquentation extraordinaire mais ce n’est quand même pas rien…) qui, par hasard, n’auraient pas été abonnés au journal papier, qu’il serait bien qu’ils s’abonnent parce qu’autrement on ne pourrait pas continuer indéfiniment.

Nous avons lancé cet appel, cela en tentant d’expliquer qu’il n’y avait quasiment aucun rapport entre ce que nous affichons sur le site et ce que nous réservons à nos abonnés papier (ou à ceux qui lisent le magazine dans sa version numérique sur ordinateur ou sur leur tablette, voire leur smartphone, grâce au procédé Calaméo). En sous-entendant lourdement que, bien sûr, ce qu’il y a dans le journal papier est un produit mieux fini, mieux pensé, donc plus intéressant et méritant un abonnement…

Nous avons alors reçu quelques abonnements, mais en nombre si faible que nous ne nous en sommes même pas réjouis.

C’est alors que nous avons reçu plusieurs réactions qui font réfléchir… Même si on ne sait pas forcément quoi en faire.

Nous nous limiterons aujourd’hui à celle d’un de nos correspondants avec lequel nous avons eu une discussion téléphonique hier même :

— Je lis votre newsletter depuis plus de dix ans je crois, et elle me passionne. Je vois bien que vous avez besoin d’aide. Que peut-on faire pour vous ?

— Ben… Merci Monsieur, un abonnement au journal s’il vous plaît…

— Oh la, la ! C’est que je n’ai aucunement envie de prendre un nouvel abonnement à quoi que ce soit, j’ai déjà beaucoup trop à lire, je reçois beaucoup trop de papier et même de mails. Non c’est votre newsletter qui m’apporte souvent beaucoup. Tout n’est pas génial, mais il y a beaucoup de bonnes choses, notamment le merveilleux travail de traduction que vous faites de vos amis catholiques américains… Je ne comprends pas que vous fassiez tout ce travail gratuitement. Tout travaille mérite salaire ! Je suis prêt à payer pour ce service-là.

— Mais c’est que nous n’avons pas prévu les choses comme ça. Pour nous le site Internet est une vitrine du journal, pour attirer de nouveaux abonnés qui offriront un avenir à notre journal. Sans ce renouveau, le journal mourra et le site également donc.

— Oui, je comprends, mais vous devriez réfléchir. Si, dans votre vitrine, il y a quelque chose de différent de ce que vous vendez, comment allez-vous me convaincre d’acheter ce deuxième produit que je ne connais pas et dont je ne ressens aucun besoin ?

— Ben, il y a quand même des choses en commun, et puis ce sont un peu les mêmes personnes qui conçoivent les deux… Mais bon, je vois ce que vous voulez dire. Que devons-nous faire alors ?


Et vous qu’en pensez-vous ?

Si vous avez une bonne idée, cela nous aidera peut-être. Si vous n’en avez pas, pensez quand même à souscrire un abonnement au journal sans tarder, parce qu’il faut sauver l’existant avant de concevoir un avenir peut-être différent.

http://www.france-catholique.fr/S-abonner-a-France-Catholique.html

Et puis si vous ne voulez pas vous abonner, vous pouvez toujours faire un don à l’association qui nous soutient.

http://www.france-catholique.fr/Faire-un-don-a-l-ADCC.html

Merci infiniment.