L’annonce avait été faite il y a quelques mois, dans un article paru dans le jquotidien La Croix, trois jours avant la deuxième manifestation nationale contre la loi Taubira du 24 mars, à savoir la création du courant pour une Écologie humaine.
L’information émanait de l’un des porte-parole de la Manif pour Tous, Tugdual Derville, par ailleurs délégué général d’Alliance Vita, association qui défend le respect de la vie et de la dignité humaine ainsi que de Pierre-Yves Gomez, professeur de stratégie à l’École de management de Lyon et de Gilles Hériard Dubreuil, chercheur spécialisé sur les questions de gouvernance et de démocratie dans le contexte des sociétés à risques.
Le courant a été officiellement lancé le 22 juin dernier, lors d’un rassemblement organisé à la Cité internationale universitaire de Paris qui a réuni quelque 500 personnes, majoritairement jeunes et particulièrement enthousiastes.
Se référant aux premiers temps de l’écologie environnementale, l’écologie humaine se veut « métapolitique », c’est-à-dire en amont de la politique afin de l’inspirer, avec comme objectif de « créer les conditions d’un engagement durable au service de tout homme, de tout l’homme ».
Cette conception « intégraliste » de l’homme, en interaction avec son environnement, s’inscrit dans le prolongement de la grande mobilisation de la Manif pour Tous avec le souci de maintenir sa formidable énergie tout en la canalisant en vue de provoquer une mutation culturelle. C’est en effet à une profonde transformation sociétale qu’appelle le courant de l’Écologie humaine en invitant à poser un nouveau regard sur l’économie, le travail, l’environnement, le mode de gouvernement, tous sujets déjà mis en relation depuis l’apparition du concept de développement durable à la suite du Sommet de la Terre à Rio en 1992 mais dont le raisonnement a jusqu’ici, au mieux ignoré, au pire attaqué l’homme dans sa nature singulière.
« Il s’agit de reconnaître que l’essence de l’homme et son humanité constituent un précieux patrimoine intergénérationnel. Accueillir ce patrimoine avec émerveillement, en prendre soin et le transmettre fait partie intégrante de l’écologie humaine » déclaraient déjà ses trois initiateurs dans leur tribune de mars dernier.
Les travaux en ateliers de la journée devraient permettre, à partir de leur synthèse, de tenir, à la fin de 2014 ou au début de 2015, des Assises de l’Écologie humaine, ouvertes à tous ceux qui souhaiteraient s’engager plus avant pour mettre en œuvre ce qui n’est rien moins qu’une nouvelle vision de la civilisation.
Invité, à l’issue des débats, à formuler un rêve pour l’avenir, Tugdual Derville a donné quelques pistes de ce que pourraient être les prochaines étapes de la construction du courant : 1 000 ateliers dans les territoires, 100 réunions publiques, 10 journées régionales, avec au bout, 10 000 personnes ou plus pour organiser les Assises.
Ce rêve, n’en doutons pas, les initiateurs de l’Écologie humaine mettront tout leur cœur à le réaliser.
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Se référant aux premiers temps de l’écologie environnementale, l’écologie humaine se veut « métapolitique », c’est-à-dire en amont de la politique afin de l’inspirer, avec comme objectif de « créer les conditions d’un engagement durable au service de tout homme, de tout l’homme ».
Cette conception « intégraliste » de l’homme, en interaction avec son environnement, s’inscrit dans le prolongement de la grande mobilisation de la Manif pour Tous avec le souci de maintenir sa formidable énergie tout en la canalisant en vue de provoquer une mutation culturelle. C’est en effet à une profonde transformation sociétale qu’appelle le courant de l’Écologie humaine en invitant à poser un nouveau regard sur l’économie, le travail, l’environnement, le mode de gouvernement, tous sujets déjà mis en relation depuis l’apparition du concept de développement durable à la suite du Sommet de la Terre à Rio en 1992 mais dont le raisonnement a jusqu’ici, au mieux ignoré, au pire attaqué l’homme dans sa nature singulière.
« Il s’agit de reconnaître que l’essence de l’homme et son humanité constituent un précieux patrimoine intergénérationnel. Accueillir ce patrimoine avec émerveillement, en prendre soin et le transmettre fait partie intégrante de l’écologie humaine » déclaraient déjà ses trois initiateurs dans leur tribune de mars dernier.
Les travaux en ateliers de la journée devraient permettre, à partir de leur synthèse, de tenir, à la fin de 2014 ou au début de 2015, des Assises de l’Écologie humaine, ouvertes à tous ceux qui souhaiteraient s’engager plus avant pour mettre en œuvre ce qui n’est rien moins qu’une nouvelle vision de la civilisation.
Invité, à l’issue des débats, à formuler un rêve pour l’avenir, Tugdual Derville a donné quelques pistes de ce que pourraient être les prochaines étapes de la construction du courant : 1 000 ateliers dans les territoires, 100 réunions publiques, 10 journées régionales, avec au bout, 10 000 personnes ou plus pour organiser les Assises.
Ce rêve, n’en doutons pas, les initiateurs de l’Écologie humaine mettront tout leur cœur à le réaliser.
Se référant aux premiers temps de l’écologie environnementale, l’écologie humaine se veut « métapolitique », c’est-à-dire en amont de la politique afin de l’inspirer, avec comme objectif de « créer les conditions d’un engagement durable au service de tout homme, de tout l’homme ».
Cette conception « intégraliste » de l’homme, en interaction avec son environnement, s’inscrit dans le prolongement de la grande mobilisation de la Manif pour Tous avec le souci de maintenir sa formidable énergie tout en la canalisant en vue de provoquer une mutation culturelle. C’est en effet à une profonde transformation sociétale qu’appelle le courant de l’Écologie humaine en invitant à poser un nouveau regard sur l’économie, le travail, l’environnement, le mode de gouvernement, tous sujets déjà mis en relation depuis l’apparition du concept de développement durable à la suite du Sommet de la Terre à Rio en 1992 mais dont le raisonnement a jusqu’ici, au mieux ignoré, au pire attaqué l’homme dans sa nature singulière.
« Il s’agit de reconnaître que l’essence de l’homme et son humanité constituent un précieux patrimoine intergénérationnel. Accueillir ce patrimoine avec émerveillement, en prendre soin et le transmettre fait partie intégrante de l’écologie humaine » déclaraient déjà ses trois initiateurs dans leur tribune de mars dernier.
Les travaux en ateliers de la journée devraient permettre, à partir de leur synthèse, de tenir, à la fin de 2014 ou au début de 2015, des Assises de l’Écologie humaine, ouvertes à tous ceux qui souhaiteraient s’engager plus avant pour mettre en œuvre ce qui n’est rien moins qu’une nouvelle vision de la civilisation.
Invité, à l’issue des débats, à formuler un rêve pour l’avenir, Tugdual Derville a donné quelques pistes de ce que pourraient être les prochaines étapes de la construction du courant : 1 000 ateliers dans les territoires, 100 réunions publiques, 10 journées régionales, avec au bout, 10 000 personnes ou plus pour organiser les Assises.
Ce rêve, n’en doutons pas, les initiateurs de l’Écologie humaine mettront tout leur cœur à le réaliser.
