Le temps de Noël évoque chez les nantis la paix des confiseurs. C’est déjà çà mais ce n’est pas encore la paix qu’apporte le Prince de la Paix. Cette Paix est aussi fragile, aussi petite que l’enfant qui vient de naître. Parfois, on se demande s’il ne s’agit pas de mener un combat pour la paix avec toute l’ambiguïté de l’expression. Pour des raisons multiples et complexes mais qu’il ne faut pas renoncer à analyser si on veut comprendre, le Proche-Orient bouillonne depuis plus de 60 ans. Allons, pas d’euphémisme : c’est la guerre, déclarée ou pas, subversive ou classique, où se mêlent terrorisme et abus de droit. Elle n’est pas que le fait des Américains, les Etats arabes, Israël et les grandes puissances ont leur part de responsabilité.
Lire la chronique de Mgr Brizard du 24 décembre 2009
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