Le retrait des rebelles de la Séléka vers le Tchad reste doublé de pillages, de meurtres et de viols, explique le Père Aurelio Gazzera, directeur de Caritas du diocèse de Bouar, à l’Aide à l’Eglise en Détresse. Il est urgent de faire superviser le retrait des rebelles par des forces de sécurité, « surtout dans les régions frontalières où la protection militaire s’impose d’urgence, pour éviter des massacres et des exactions ».
À lire sur le site de l’Aide à l’Église en détresse.
Pour aller plus loin :
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