J’ai publié il y a quelques jours un texte où j’expliquais pourquoi nous avons engagé France Catholique dans un soutien sans faille à Brunor, le dessinateur de BD qui, avec sa série les Indices pensables, est en train de fournir aux chrétiens des armes intellectuelles pour discuter de tout ce qui empêche la foi avec les ados et les grands ados que sont maintenant bien des trentenaires, spécialement les scientifiques…
J’ai dû publier ces réflexions à un très mauvais moment (juste avant le deuxième tour de la présidentielle) parce que je constate qu’elles ont été peu lues et surtout qu’elles n’ont provoqué que deux réactions positives.
C’est pourquoi je me permets de rappeler l’enjeu. Soit nous sommes soutenus par un public militant qui s’implique dans l’aventure et nous pouvons programmer un quatrième album pour l’automne prochain avec un tirage suffisant pour le rentabiliser. Soit notre public reste hésitant et nous devrons retarder la publication ou bien nous contenter d’un tirage moyen qui fera que l’opération ne sera pas rentable. La non rentabilité entraîne une perte d’efficacité et une perte de substance puisque Brunor, pour gagner sa vie, est alors obligé de faire beaucoup d’autres travaux alimentaires, ce qui retarde, voire tue, les futurs albums…
C’est à partir de ce constat que j’essayais de vous convaincre de notre devoir collectif de soutenir une vocation utile quand nous avons la chance d’en rencontrer une.
Je vous appelle donc à nouveau à acheter le « double album 1 » « Les Indices pensables », à couverture souple, qui contient les deux premières aventures des Indices pensables (éditions SPFC, diffusion Salvator, prix 18,90 euros).
Le mieux est de l’acheter chez un libraire – catholique éventuellement – afin de vous permettre de convaincre ce libraire de mettre ce livre en vitrine. Nous disposons par ailleurs de prospectus à votre intention à remettre au libraire ou à votre paroisse.
Enfin pour le futur album (tome IV), nous vous avons proposé de le commander en pré-souscription mais peut-être est-ce trop tôt ou trop exigeant ?
