Dans leur désarroi, les nations attendent sur le plan politique l’élu providentiel qui effacera la crise. Les déceptions sont prévisibles. Sur les marchés, les opérateurs espèrent la même chose de leurs banquiers centraux. Lesquels ne sont pas des cancres, mais en savent à peine plus que le pékin sur la monnaie. C’est-à-dire pas grand-chose.
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