À travers quelques titres, voici diverses occasions de mieux connaître le catholicisme.
En ce qui concerne les successeurs de Pierre, on retiendra Le vrai Jean-Paul II. L’homme, le pape, le mystique de Slawomir Oder, avec la collaboration de Saverio Gaeta, (Paris, Presses de la Renaissance, 2011, 208 pages),
Jean-Paul II et la communication. Ou quand la communication sociale devient facteur de vérité, de liberté et de promotion humaine, de Francis Barbey (Paris, Publibook, 2010, 122 pages),
ainsi que, de Benoît XVI, Mon bien-aimé prédécesseur (Perpignan, Artège, 2011, 152 pages).
De ce dernier on ajoutera, sous son simple nom de Joseph Ratzinger, Mon concile Vatican II (Perpignan, Artège, 2011, 304 pages)
et Jésus de Nazareth, deuxième partie : De l’entrée à Jérusalem à la Résurrection (Paris, Éditions du Rocher, 2011, 352 pages).
Du côté des proches du souverain pontife, le cardinal Philippe Barbarin a écrit L’Église est une servante (Paris, Lethielleux, 2010, 242 pages)
et, en collaboration avec Luc Ferry, Quel devenir pour le christianisme ? (Paris, Albin Michel, 2011 [1ère édition : Salvator, 2009], 128 pages).
Maître des cérémonies au Vatican, Mgr Guido Marini explique La liturgie. Mystère du salut (Perpignan, Artège, 2010, 68 pages). Quant à Matt Baglio, il expose Le rite. La formation d’un exorciste au Vatican (Paris, Salvator, 2011, 336 pages).
D’un point de vue historique, après avoir parcouru, de Patrice Gouzigou, Le légendaire des saints en Bretagne (Rennes, Ouest-France, 2011, 128 pages), on parcourra les Grandes figures de l’Ordre de Malte, de Bernard Berthod (Perpignan, Artège, 2010, 158 pages),
et on partira à la découverte de personnalités pas suffisamment connues : Camille Costa de Beauregard. La noblesse du cœur 1841-1910, de Françoise Bouchard (Paris, Salvator, 2010, 288 pages),
Matteo Ricci. Un jésuite à la cour des Ming, de Michela Fontana (Paris, Salvator, 2010, 458 pages) et Suzanne Aubert 1835-1926. Une Française chez les Maoris, de Madeleine Le Jeune et Jessie Munro (Paris, Salvator, 2011, 304 pages).
Plus contemporains, voici, d’Emmanuel Lafont et Jean Cormier, l’histoire du premier, Le curé de Soweto (Paris, 2011, Éditions du Rocher, 416 pages)
et, de René Valette, Le goût d’un monde solidaire (Paris, Les Éditions de l’Atelier, 2011, 144 pages).
Parmi les problèmes d’aujourd’hui, on évoquera, avec Massimo Introvigne, Prêtres pédophiles : une Église dans la tourmente. Polémique et vérité (Saint-Maurice, Éditions Saint-Augustin, 2011, 112 pages).
De même, on écoutera le cri de François de Lacoste Lareymondie : Je refuse ! L’objection de conscience, ultime résistance au mal (Paris, Éditions de l’Emmanuel, 2011, 224 pages).
Il y a aussi l’intéressant tour d’horizon d’Yves de Gentil-Baichis, Conciliaires ou traditionnels ? Enquête sur les futurs prêtres (Paris, Desclée de Brouwer, 2011, 144 pages).
Pierre de Charentenay examine Le dilemme du chartreux. Médias et Église (Paris, Desclée de Brouwer, 2011, 240 pages).
Autres questions, celles suscitées par Le mariage chrétien à l’épreuve du divorce, décrites par Alain Bandelier (Paris, Éditions de l’Emmanuel, 2010, 322 pages).
Et comment ne pas terminer en beauté avec le Dictionnaire amoureux du catholicisme, de Denis Tillinac (Paris, Plon, 2011, 640 pages) ?