La liberté de la presse est menacée dans notre pays.
Sans doute ne sommes-nous pas en première ligne comme nos malheureux confrères de Charlie hebdo. On n’aura pas le mauvais goût de s’en plaindre.
Cependant, on peut disparaître à petit-feu. Et alors on peut baisser les bras en constatant, pour ce qui nous concerne, que, par exemple, chaque fois ou presqu’un évêque français – voire francophone – meurt, nous perdons un abonné. Mais il est bien rare qu’un nouvel évêque soit un abonné, même si cela arrive de temps à autre. Et pour les prêtres c’est plus criant et plus massif bien sûr. Toute une génération du clergé, qui était traditionnellement abonnée à France Catholique, est en train de disparaître. Alors que les jeunes prêtres, en nombre bien inférieur, estiment, souvent — avec raison — n’avoir ni le temps ni les moyens de souscrire un abonnement à notre journal. Et que dire des communautés ? A chaque fois qu’une maison de religieuses ou de religieux ferme et que ses membres sont dispersés dans d’autres maisons (souvent de retraite), l’abonnement est purement et simplement annulé, au mépris parfois des souhaits de sœurs et de frères qui nous lisaient parfois avec joie depuis quarante ou cinquante ans et auxquels ont prétend que Le Pèlerin, par exemple est le « choix » suffisant de leur nouvelle communauté. Alors que les Communautés nouvelles, pour lesquelles France Catholique n’a pourtant pas ménagé son enthousiasme et son soutien depuis quarante ans, éditent souvent leur propre presse qui a déjà bien assez de difficultés pour pouvoir suivre d’assez près celles de France Catholique…
Arrêtons ici pour l’instant les constats amers. On n’est pas là pour se lamenter. Comme vous pouvez le constater chaque semaine dans votre boîte à lettres si vous êtes abonnés, ou sur Internet si vous recevez régulièrement cette lettre de liaison, nous ne renonçons pas à être présents et, si possible, utiles. Certains le reconnaissent et affirment trouver dans « France Catho » des choses qu’on ne retrouve pas ailleurs. Il y a aussi des signes de renouveau. Tant mieux. Reste à financer un peu tout cela !
Nous nous adressons tout particulièrement à ceux qui n’ont pas les moyens de prendre un abonnement à France Catholique, mais qui nous lisent régulièrement sur Internet. Mais nous n’excluons pas de cette proposition, ceux qui sont déjà abonnés et qui veulent bénéficier d’un service supplémentaire ou nous aider encore plus.
Nous avons en effet créé pour vous tous un service qui est à la fois un moyen de financer notre travail sur Internet et une sélection inédite d’articles de France Catholique en avant-première (qu’on retrouvera quelques jours plus tard dans le journal papier ou numérique) ou en exclusivité (qu’on ne retrouvera pas dans le journal papier ou numérique) parce qu’on n’a pas eu la place pour eux ou pour des raisons d’actualité.
On accède à ce service pour la modique somme de 30,63 euros pour un an, de janvier à janvier.
Dès que vous avez effectué ce règlement et à condition que vous soyez déjà inscrit sur notre site Internet (avec la même adresse de courriel que celle que vous avez utilisée pour le règlement Paypal, ou que vous nous avez indiquée en envoyant votre chèque) nous débloquons votre accès aux articles payants qui sont affichés chaque lundi en fin de soirée.
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Vous pouvez également payer cette prévente par un chèque de 30,63 euros à l’ordre de France Catholique, 60, rue de Fontenay 92350 Le Plessis-Robinson.