Aimé Michel dans la revue "3e millénaire" - France Catholique
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« Ô Marie conçue sans péché »
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Aimé Michel dans la revue « 3e millénaire »

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L’espace silencieux par Aimé Michel

(Revue Question De. No 33. Novembre-Décembre 1979)

Les astronomes utilisent beaucoup un petit graphique très simple appelé le diagramme de Hertzsprung-Russel (DHR) qui est certainement le dessin le plus chargé de sens jusqu’ici tracé par la main de l’homme.

http://www.revue3emillenaire.com/blog/?p=10101


Le crépuscule du matin par Aimé Michel

(Préface au livre Les certitudes irrationnelles de Cuénot. Planète 1967)

Un chef-d’œuvre achevé, cela impose le respect. Même M. Kossyguine le comprend, qui consacre six minutes de sa vie à contempler la Joconde. Il est vrai que Vinci consacra quatre ans de la sienne à la peindre. Quatre années de méditation, pinceau en main, devant un visage de femme : qu’est-ce donc qu’un visage? Mais qu’est-ce plutôt qu’un homme?

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Les sectes : Les religions parallèles par Aimé Michel

(Extrait de Les religions. Éd. Marabout 1974)

Ce chapitre propose une analyse des phénomènes psychologiques impliqués dans la naissance et le développement des sectes. Il introduit les faits significatifs par le biais de l’anecdote. Il discute les contributions possibles de diverses sciences et suggère quelques directions de recherche.

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Raymond Ruyer: restons sceptiques! par Aimé Michel

(Question De. No 31. Juillet-Août 1979)

Face à l’esbroufe, à l’intimidation et au terrorisme intellectuels

L’article qu’on va lire ci-dessous est composé de plusieurs parties. D’abord une analyse par Aimé Michel du dernier livre de Raymond Ruyer (sorti chez Robert Laffont) : « Un sceptique résolu… devant les discours intimidants ». Puis la reproduction de « Hymne à Zeus » qui termine l’ouvrage de Ruyer et qui peut être considéré comme un morceau d’anthologie : toute la prière des gnostiques » contemporains est là exprimée. Enfin, écrite par Aimé Michel qui a voulu s’amuser un peu, une « prière de Jonas dans sa baleine », apocryphe et hérétique (!) mais qui, comme celle de Ruyer, révèle la pensée contemporaine mieux que les théologiens, les exégètes ou les philosophes de tous bords ne sauraient le faire.

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Je suis d’accord avec Pauwels sur l’essentiel, je m’explique sur le reste par Aimé Michel

(Revue Question De. No 30. Mai-Juin 1979)

Aimé Michel a lu « Comment devient-on ce que l’on est ? ». Il a lu aussi toutes les critiques sur ce livre de Louis Pauwels. Personne, à son avis, n’a dit sur ce livre si capital pour la compréhension de l’auteur, ce qu’il aurait aimé qui fut dit. Il le dit ici.

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Le volcan qui bouge par Aimé Michel

(Revue Question De. No 27. Novembre-Décembre 1978)

Les nouveaux philosophes nous ont débarrassés du radotage marxo-politico-utopique. Bon. Il fallait le faire. Il y a toujours des militants communistes, des partis communistes (il en faut pour tous les goûts). Les Etats-goulags sont toujours là, mais du moins le terrain intellectuel est-il maintenant dégagé des graves théoriciens qui, au mépris des faits, l’occupaient tout entier depuis des décennies.

http://www.revue3emillenaire.com/blog/?p=7378


La grande diaspora par Aimé Michel

Il y a une dizaine d’années, considérant que l’explosion démographique humaine était le premier phénomène vivant explosif ne comportant aucun frein et donc voué par sa nature même à la catastrophe, j’écrivais que « au moment où il créait l’homme, Dieu ne savait malheureusement pas encore que la Terre est ronde ». Il faut oser reconnaître ses torts : je présente donc mes excuses à Dieu pour cette remarque erronée ; il semble en effet que, au moment où il créait l’homme, Dieu savait bel et bien, non seulement que la Terre est ronde, mais encore que son domaine prédestiné n’est pas la surface limitée d’une sphère, mais bien l’espace infini dont le centre est partout et la surface nulle part.

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La rose-croix et la naissance de l’esprit scientifique par Aimé Michel

Il s’est passé d’étranges choses au début du XVIIe siècle. Certaines sont connues, tellement connues que peut-être elles aveuglent le regard : Kepler découvre les lois du mouvement des planètes ; Galilée voit pour la première fois les satellites de Jupiter, les montagnes de la Lune, fonde la dynamique en mesurant la chute des corps ; Descartes, dans son « poêle », perçoit comme en une vision les principes de la méthode scientifique et de la physique théorique. Tant d’événements extraordinaires en si peu de temps ! Pour retrouver une telle explosion de prouesses intellectuelles, il faudrait remonter au temps de Thalès, à la naissance de la science grecque.

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Les probabilités d’une vie universelle par Aimé Michel

Mais on peut parier à coup sûr que, comme les planètes exposées à l’ensemencement sont des milliards, la règle est qu’elles seront ensemencées. La règle, nous avertissent les grands nombres, c’est la totalité de l’ensemencement, et même de l’ensemencement immédiat et universel dès que les conditions propres à la vie apparaissent quelque part. Passer entre les gouttes, c’est le miracle arithmétique. Il peut se produire une fois, ce miracle, tant est immense l’univers, si même il n’est pas infini. Il est exclu que ce miracle soit la règle. Rien de plus certain que cela. Je l’entends littéralement : car nulle preuve n’est plus forte que celle des grands nombres.

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