Ce n’est plus l’escalier de la rue Edmond-Valentin qu’il nous faut monter. Depuis 1971, la direction et la rédaction ont été transférées 118, rue Saint-Dominique.
Vraisemblablement, les comités de rédaction sous la direction de Louis-Henri Parias se déroulaient-ils dans une ambiance différente.
Certes si continuaient à en être les éléments permanents Luc Baresta et Michel Denis – bien que celui-ci – notamment, fut suspect de « fabreguisme. Mais Parias avait une autre personnalité que son prédécesseur.
Notamment, il était enclin à considérer la culture religieuse comme sa chasse gardée. « Il n’a pas lu les Père de l’Église » disait-il de tel ou tel…
En outre, en plus du contenu immédiat du journal, on dut débattre de la future maquette de l’hebdo, puisque Parias avait été appelé non seulement pour renouveler l’équipe de rédaction, pour susciter un esprit plus « ouvert » en faisant appel à un éventail de signatures plus diversifié – ce qu’il réussit – et, enfin, concevoir une nouvelle présentation moins austère et plus attractive pour une public plus large.
Louis-Henri Parias fut le dernier directeur de « La France Catholique » de l’Age d’Or » des sociétés occidentales, des Trentes Glorieuses de la société française.
Le 4 octobre 1974, Jacques Boudet devint le second directeur de France Catholique-Ecclesia (22/03/1974).