Depuis plusieurs années maintenant nous publions, plus ou moins régulièrement, des pages du journal littéraire de Gérard Leclerc où il note, dans des cahiers d’écolier, avec sa haute écriture, très belle de loin et difficile à déchiffrer de près, sans aucune rature… ses impressions au fil de ses nombreuses lectures quotidiennes.
Une partie de ce journal a été publiée dans les colonnes de l’hebdomadaire France Catholique. Une partie, plus importante, sur notre site et sur le site personnel de Gérard Leclerc organisé par un de ses fils. Une partie restera sans doute dans ses cahiers manuscrits faute de temps pour les dactylographier…
Certains de nos lecteurs ont exprimé le désir de retrouver ce journal sous forme de livre, et pourquoi pas de livres annuels. Cependant le projet a rencontré le scepticisme des éditeurs amis auquel j’ai pu en parler et même de l’auteur lui-même…
C’est pourquoi je lance cet appel. Achèteriez-vous un volume reprenant une année de journal de Gérard Leclerc ? C’est un livre qui pourrait être vendu dans les 25 euros et qui pourrait paraître en décembre ou janvier prochain.
Si oui, répondez-moi à cette adresse en m’indiquant très précisément votre adresse et votre numéro de téléphone afin que je puisse vous tenir au courant de la suite éventuelle de mon idée. A moins de 500 réponses, il risque de ne pas se passer grand chose…
Petite indication pratique : je reçois les premières réponses pas très nombreuses mais enthousiastes. Elles viennent des amis les plus proches de Gérard Leclerc, de France Catholique ou de moi-même. Elles ne me satisfont pourtant pas entièrement. J’ai bien demandé qu’on me donne une adresse postale complète (celle où le livre sera ultérieurement envoyé) et un numéro de téléphone. Il s’agit en effet pour moi de constituer à moindre travail une liste des personnes susceptibles d’être associées à ce projet. Merci de ne pas m’obliger pour chacun à aller rechercher ces renseignements utiles sur le fichier des abonnés du journal ou sur mon carnet d’adresses personnel. Oui j’ai vos adresses quelque part, mais je n’ai pas le temps de faire ce travail que je vous demande de faire à ma place. Amitiés à tous.