Les députés godillots de la « République en Marche » ont adopté comme un seul homme une mesure visant à supprimer les mentions « père » et « mère » des formulaires administratifs soumis à l’école, pour les remplacer par les mentions anonymes « parent 1 » et « parent 2 » : imposée d’un grand élan panurgique, voilà une nouvelle avancée de l’idéologie du « genre » qu’on veut substituer aux sexes masculin et féminin dans la société de demain. Cela se passe dans un contexte où des décideurs veulent banaliser le plus possible l’homosexualité et tout ce qui en dérive, y compris l’« homoparentalité ».
Une élue du Nord de la France parle benoîtement d’« ancrer dans la législation la diversité familiale des enfants ». D’autres considèrent que vouloir défendre l’emploi des mots père et mère relève de « schémas de pensée un peu arriérés »… Des utopistes veulent projeter les structures familiales de la société dans le néant d’un « no man’s land » juridique, et nous invitent à faire un grand bond en avant… A nos risques et périls. Nous avons le droit de refuser ce saut dans le vide…
Pour aller plus loin :
- INTRUSION DE LA THEORIE DU GENRE A L’ECOLE ET DANS LA SOCIETE
- Quand le virtuel se rebelle contre le réel, l’irrationnel détruit l’humanité
- Le Gender pour tous et les droits des parents
- S.O.S. ! Pour les pervertir, l’Etat kidnappe nos enfants !
- Le défi du développement des peuples et le pacte de Marrakech - la fuite en avant des Nations Unies