Quels mots trouver pour rejoindre un ami qui a pris une telle avance sur moi, sur l’ultime sentier ? Toi qui a trouvé la porte étroite sans la chercher, pris soudain par la main de qui t’attendait, Celui à qui s’est décrit Lui-même comme étant « La Porte » ? De quels mots me souvenir plus particulièrement parmi tous ceux, innombrables, que nous avons échangés entre nous, en des discussions passionnées où nous deux ensembles cherchions le sens de toutes choses évoquées, parfois des plus simples, parfois des plus complexes, souvent des plus sourdes, des plus accablées quand nous pensions à notre pays peut-être abandonné de l’Esprit-Saint, ce que nous pouvions admettre ni penser ; des plus enthousiastes aussi quand nous nous trouvions en plein accord sur telle œuvre admirable – par exemple le « Miguel Manara » de O.-V. de L. Milosz –, aussi bien que des plus lumineuses, des plus ouvertes sur les mystères divins, sur également l’essentiel d’une foi ouverte : l’une sur l’iconostase et ses icônes-prières qui préparent le cœur du fidèle orthodoxe à contempler la sainte Eucharistie, l’autre tourné vers l’autel de Saint-Pierre, en cette « Cathédrale du Monde entier » où se rassemblent d’immenses foules pour mieux entendre la Parole transmise aux Apôtres par les évangélistes.
Ce qui nous a toujours étonnés ce fut notre entente fraternelle à propos de tout, tel sujet de rien, tel autre décisif, sans oublier les séquences chargées d’un humour sagace et tendre, moments qui nous permettaient des détentes bienheureuses… Pas un pisse-vinaigre, notre Claude-Henri !
Tu connaissais mon admiration pour les ouvrages de toi que j’ai lus – je suis bien obligé d’avouer, car ton œuvre est immense, que je n’ai pas ouvert ni approfondi les plus de cinquante références de ton opus ! – et dont il m’est arrivé le bonheur d’en rendre compte et même parfois d’en éditer aux Cahiers Bleus et à l’Andas[1]. Tu amplifiais alors exagérément mes petits mérites d’œuvrier des lettres comme des arts, mais tu savais que ta joie de voir combien j’appréciais tes œuvres était pour moi une sorte de bénédiction face à la médiocrité qui nous semblait régner dans l’inculture d’aujourd’hui, notamment chez les gros et gras médias. Je dois reconnaître que nos jugements, qui se recoupaient toujours sauf une fois ou deux, étaient d’une sévérité sans fards et sans miséricorde…
Tu étais un travailleur d’excellence, un acharné de la virgule qui manque et qu’il te fallait situer là où, sans elle, le texte devenait bancal. Tu avais aimé l’anecdote concernant Léon-Paul Fargue alors qu’il demeurait à Vichy : c’était avant la guerre de 40… Tourmenté par une virgule peut-être oubliée en un texte que Gaston Gallimard allait incessamment publier, il sauta dans le premier train – pas un TGV ! -, en un aller et retour rapide pour l’époque afin d’aller inscrire cette unique et précieuse virgule à cette place qui lui était dévolue comme de toute éternité…
J’appréciais beaucoup, à chaque fois que nous causions au téléphone (et ce fut souvent), chacun devant son travail en court – mais alors oublié sans souci d’horaire –, cette exigence tienne qui te poussait inlassablement à lire et relire tes manuscrits aussi bien que tes tapuscrits : au point qu’un texte qui m’aurait paru achevé, ultra corrigé déjà puis rangé parce que non encore confié à un éditeur ou une revue, retrouvait vite fait le chemin de la relecture dès que sa destination, orale ou imprimée, était enfin fixée. Cent fois sur le métier… Je suis quelque peu partisan de cette discipline mais n’ai pas trop souvent le courage de m’y mettre et remettre… Ma paresse amplifie naturellement ton application et ton ardeur à ne livrer que le meilleur, l’impeccable, le parfait, ce qui ne peut plus être corrigé ni modifié…
Très cher Claude, tu étais si présent lorsque que nous nous rencontrions, non de loin au bout d’un fil, mais chez toi, chez Annik : tout donné, verbe à l’appui, à ton hôte ! Il arrivait que tu aies prévu qu’il y ait repas… Je pense ici à celle que je viens de nommer, qui faisait en sorte que l’invité sorte de table comblé et ravi : bien sûr Annik Rocquet – Fougère pour ses lecteurs – avait acquis dès longtemps le sens de la gastronomie, sans quoi peut-être que Claude, suite à leur adhésion à l’orthodoxie, aurais hésité à l’épouser en une église de cette obédience…
Quant à toi, tu présidais à la conversation. Parfois, je te regardais chercher certains mots rétifs, le regard tendu vers des hauteurs insoupçonnées ou lointaines : et quand tu revenais à table, sans nous avoir pour autant abandonnés, ces mots pour dire avec précision ce que tu voulais jeter dans la balance avaient été moissonnés. Un léger sourire de satisfaction les accompagnait.
Au temps où j’ai fait la connaissance de Claude et donc aussi d’Annik, il y a plus d’une quinzaine d’années me semble-t-il, les emplois d’autrefois s’étaient estompés dans les lointains de l’oubli, l’heure de ce que l’on nomme retraite ayant alors sonné. Elle vivait donc auprès de toi et pour toi : depuis ces jours-là, elle a veillé à tout, elle a été ta providence ! Il me semble que sans elle l’écrivain magnifique que tu as toujours été aurait été perdu, éperdu, comme hagard devant les innombrables tâches que suppose devoir faire l’homme seul, l’homme veuf ou quitté… Ce point de ta vie devra toujours figurer dans les biographies qui te seront un jour consacrées…
Je vois Annik comme ton bras droit : comme tes doigts – tu n’en avais pas d‘autres, gardant tes mains pour l’applaudir –, jetés sur le clavier de l’ordinateur. Aussi ton correcteur lucide et infiniment respectueux de l’écrivain génial dont elle était la rigoureuse servante, le gestionnaire avisé, l’alliée parfois bougonne, encore la secrétaire compétente même en matière d’ordinateur, ce qui te paraissait un savoir inaccessible… Je cite encore : la gouvernante, l’administratrice, aussi la sourcilleuse maîtresse de maison, l’excellente chef de cuisine et j’oublie quelques autres de ses mérites : sans elle, je crois que ton œuvre serait demeurée inachevée, en puissance seulement… Elle, absente en tes dernières années consacrées à mettre de l’ordre dans tes manuscrits, souvent à retrouver en des lieux d’archives quasi secrètes, à relire avec une attention des plus méthodique les épreuves envoyées par tes éditeurs, parfois fort négligents, cela aurait été un désastre et tu ne serais pas parvenu à sans cesse explorer les ‘chemins de la perfection’ comme il t’a été possible de les explorer par exemple en tes « Chemins de parole ».
Tu le savais, naturellement, et le reconnaissais. Exigeant pour toi, à l’extrême, tu finissais par l’être pour elle. Comme tu étais à la fois comédien et lecteur, notamment chez Jean-Luc Jeener, l’exemplaire aventurier du Théâtre du Nord-Ouest, serviteur émérite d’un grand nombre d’œuvres théâtrales, Annik fut souvent ta répétitrice et ton conseil… Peut-être lui arrivait-il de verser quelque reproche en tes oreilles ? De se décrire comme corvéable à merci ?… quoiqu’elle n’oubliait rien de ce qui était à la fois sa pesante charge et son bonheur. Du moins ce que j’ai cru percevoir de l’unité saisissante qui régnait entre Annik et toi.
Tout au long de ma déjà longue existence, je n’ai pas multiplié les amitiés, mais celles que j’ai nouées, si différentes les unes des autres, me furent toujours d’étonnantes rencontres. Il s’agissait de peintres, de poètes, d’essayistes, de romanciers, de dramaturges, de comédiens également, ayant été longtemps professeur d’art dramatique et de diction poétique au Conservatoire national de ma ville de Troyes… : mais aucun parmi eux ne m’a paru à ce point si profondément divers en même temps qu’autant « lui-même » ; aussi profondément créateur, chercheur de vérité, de beauté, d’amour. Insatiable ou même boulimique de l’écriture. Détenant les secrets d’une langue aussi souple, élégante, charnue, explicite, tendre et lumineuse, ‘ta’ langue française, investie en toutes ses facettes. Je t’ai regardé comme un homme complet en tes démarches de professeur, dont il arrivait que tu te souviennes, d’essayiste bien entendu, de conseiller fraternel, aussi d’amateur curieux d‘œuvres poétiques, peintes, gravées,, de travaux photographiques dont je te faisais passer quelques épreuves sachant que tu m’en dirais du bien, ce qui me consolais de mes solitudes… Je n’oublie pas le diseur émérite à la Radio comme chez Jeener… Je n’oublie pas davantage ton agrégation de Lettres, moi l’ignorant et l’indocte, et que tu enseignas l’histoire de l’art, la scénographie et la littérature en l’École nationale des Arts décoratifs (ENSAD) ! Tu n’as pas non plus négligé d’être un conférencier apprécié… et que de tes enseignements sortirent, entre autres, trois livres magistraux en même temps que d’une poésie saisissante : sur Vincent Van Gogh[2], Goya et Pieter Bruegel. Il y a peu, tu m’as confié pour ma Chronique (in)actuelle, une belle série de réflexions à partir du thème « Aimer Bonnard ». Réflexions superbes sur l’art, la beauté, le mystère de la création d’œuvres dont certaines deviennent immortelles.
J’ai aimé profondément ces œuvres où, pour mettre en lumière tes bienaimés, tu finissais par devenir leur frère le plus proche.
De même je te vois comme un chercheur d’inconnus au présent, soucieux d’ouvrir des portes en faveur de ceux qui n’osaient pas, qui se sous-estimaient, qui ne connaissaient personne… En ce lundi suivant la fête de la Miséricorde de Dieu, il m’est bon de me souvenir que tu fus parfois ce miséricordieux dont j’ai eu quelquefois besoin.
Ne pas avoir pu venir à ta dernière prestation temporelle, où seule ta dépouille était présente, ensevelie au creux de ta dernière demeure humaine, me fut une peine des plus sensible et qui subsiste : certes Annik, compatissante aux difficultés qui étaient depuis trois semaines mon lot, m’avais recommandé de ne pas faire ce voyage ; j’ai dû lui obéir, à mon grand regret, mais sans battre ma coulpe (souvent toi aussi tu devais lui obéir, ce que tu faisais parfois de bonne grâce).
Jean-Luc Jeener, par contre, fut l’un des tous premiers à se rendre à l’office des funérailles en l’église parisienne et orthodoxe « Notre-Dame, Joie des Affligés et Sainte Geneviève » : il eut à dire quelques mots pour saluer cet ami qui lui était très cher et dont il appréciait particulièrement l’amour qu’il portait à « notre belle langue française qu(’il a) si bien servie ». Oui, il te salua d’un salut tiré du fond de sa propre émotion, de sa peine de se retrouver comme orphelin d’un maître bienaimé. Il ajouta : « Le poète est celui qui passe mais c’est surtout celui qui demeure dans les cœurs et dans les âmes. Toi qui croyais à l’apocatastase il n’y a plus d’autres possibles pour toi que le Paradis. L’enfer est peut-être vide mais, pour toi, il n’y avait pas grand risque : une belle personne, un être rare, curieux, créateur, si humain dans ses passions, si plein de vie et de désir pour ce qui est grand, beau, nécessaire. »
À propos de l’apocatastase, je me souviens de notre désaccord résolu, de mes arguments que tu voulais réfuter mais que je ne cessais de renforcer… Je ne pouvais supporter que tu nourrisses à cet égard une opinion contraire à l’enseignement de l’évangile. Fut-elle vaine cette discussion sur un point de foi sur lequel je ne pouvais transiger ? Je réponds non. Ce thème revint plusieurs fois en ta bouche, et peu à peu ta certitude se faisait moins vive, moins assurée.
Bien entendu, avec Jeener, ne puis imaginer une seconde que le Seigneur tout miséricorde aurait jeté sur la balance une telle divergence si minime dans ta foi : je dis incompréhension des plus partielles sur un point que pourtant le Christ avait enseigné avec vigueur auprès des Apôtres : mais il me semble que le total de tes douleurs et souffrances, assumées sans récriminations, comme avec douceur, et qui furent ton quotidien depuis des années constitue un plus solide argumentaire, si j’ose ainsi m’exprimer. Il est vrai pourtant que j’aurais aimé que tu sois, cher Claude-Henri, moins persuadé de l’inexistence de l’Enfer… toi qui défendais le plus sérieusement du monde ta foi, qui fut d’abord catholique puis orthodoxe, ce qui ne t’empêchait point de penser que le pape était des plus nécessaire, sinon même indispensable. Tu as d’ailleurs écrit qu’en fait tu étais à la fois catholique et orthodoxe…
J’ajoute : qui oserait se croire sans péché ? Qui donc se permettrait de jeter la première pierre ? Aucun de nous deux n’aurait eu une pensée aussi sauvage et indigne.
Je cite encore Jean-Luc Jeener, que certains de mes lecteurs de « France Catholique » connaissent comme chroniqueur au « Figaro » et en « Valeurs-Actuelles » : « Chaque conversation avec toi était une merveille de profondeur. Je me vois encore il y a quelques jours parler de l’essentiel, de cette vie après la mort, de ce Dieu d’amour tellement fou de nous aimer individuellement, du sacré de notre vie et de ce que nous lui devons alors que tant d’hommes meurent dans cette vie à force d’ignorance et de paresse, de lâcheté et d’à quoi bon. » J’ai apprécié ce paragraphe qui démontre que ces sujets, qui furent également les nôtres lors de discussions à l’échelle des heures, faisaient parti de ton interrogation la plus vitale : mon seul regret est de n’avoir pas usé de mon magnétophone nain pour enregistrer quelques-uns de ces échanges féconds.
Mais comment ne pas aborder un point qui m’a paru fondamental : ton mysticisme d’essence poétique. Car, si l’on se penche sur les pages innombrables de tes méditations qui nourrissent nombre de tes livres, on reste saisi d’un étonnement ébloui : tout cela s’écoule comme une rivière douce, comme des flots de lumière ardente, aussi de vérités amoureuses lentement mûries, riches de visions et de découvertes bienheureuses. Qui pourra se vanter d’avoir autant écrit sur tant de pages de la Bible ? Qui se sera comme gavé de ces histoires éclairantes dont le professeur que tu étais a pu reconnaître, à mains détails bons à méditer, les soucis et les modes de la pédagogie divine ? Bien entendu, il faudrait que je donne des exemples, mais si je tentais l’exercice il y en aurait pour des heures et des jours : et ce ne serait que bavardages dissolvant alors qu’il suffit d’aller à la source, tes propres écrits à lentement laisser travailler dans le silence.
Ici, il me faut donc mettre un terme à cet « à Dieu », expression pleine d’espérance comme fut Marie « pleine de grâce ». Tout ami qui nous quitte, nous devons avoir, en son nom, à compter sur ce Dieu d’amour infini, de miséricorde absolu : il est vrai que l’apocatastase, cette pauvre croyance en un enfer inexistant, ne te concerne pas, ne peut pas te concerner, toi qui, dans tes derniers jours, avais murmuré qu’il y avait à réfléchir sur ce point… à propos de mes arguments ! Ce n’était pas une reddition, certes non, mais une avancée lente vers un partage des voix. Or, déjà, l’ombre nuptiale de l’Esprit-Saint s’avançait vers toi.
Mais tu dépendais, comme chacun de nous, de notre nature humaine et pécheresse et en étais conscient. C’est pourquoi il convient que notre prière demande pour toi le pardon définitif que le Seigneur accorde à ceux qui l’ont reconnu pour celui qu’Il est et pour ce qu’Il fait, formule claire et simple qu’il avait retenue au cours de nos conversations ; pour ceux encore qui l’avait aimé et adoré et servi ! Car certaines de tes œuvres, cher Claude-Henri, ont librement et savamment participé au Service de Dieu, celui du Premier Testament comme du Second. Tu as ainsi témoigné jusqu’au bout de ta foi en le Père comme en le Fils. Sur ce point du témoignage nous étions des frères : l’un témoignait de sa foi à l’instar de l’autre.
Demeure ton œuvre de poète, d’essayiste, de dramaturge : ainsi et par exemple, se comptent une quinzaine de pièces de théâtre très personnelles, inventives, soucieuses en permanence de cet essentiel qui nous oriente vers l’infini de la transcendance divine. Alors, j’ajoute à mon « à dieu » un fervent « au revoir ».
Enfin, je reste plein de joie d’avoir été en mesure de publier[3] de toi, éloquent ami, outre ton « Milosz et l’Amoureuse initiation : Journal d’une lecture », repris chez ZurfluH, hélas en faillite, tes méditations sur « Jonas », sur « L’arche d’enfance », ouvrage qui contient notamment les superbes pages de tes « Cahiers du Déluge » ; également tes commentaires sur « Jeanne face aux bourreaux »… avec un désir sage de lire de toi au moins une douzaine de tes œuvres encore non entrée au sein de mes neurones[4].
[1] – Fouiller dans le Parvis des Alliances, à l’aide l’Index parmi les centaines de mots clefs qui s’y trouve, ceux bien entendu qui évoquent Claude-Henri Rocquet…
[2] – « Vincent Van Gogh jusque-au dernier soleil », Éditions Mame, Paris, 2000.
[3] – Aux éditions des Cahiers Bleus : « Jeanne face aux bourreaux » (2014), où l’on discerne que l’instinct de cruauté est rarement absent du dessein de justice ; « Milosz et l’Amoureuse initiation » : Journal d’une lecture, Éditions ZurfluH, ouvrage repris en 2013 par les éditions des Cahiers Bleus». Aux éditions ANDAS, « Jonas », théâtre et « L’Arche d’enfance ». Ces quatre ouvrages sont toujours disponibles. Lire « Présentation de Claude-Henri Rocquet » sur le Site Parvis des Alliances. Contact : parvisdesalliances@gmail.com.
[4] – Dans ma bibliothèque quelques-uns des cinquante livres écris par Claude-Henri Rocquet :
1/ « Élie ou la conversion de Dieu », relecture et interprétation des pages de la Bible sur ce prophète extraordinaire, Éditions Lethielleux, 2003.
2/ « Martin de Tours et le combat spirituel », Vie de saint Martin retracée à la lumière de l’histoire et méditée à celle de l’Évangile, Éditions François-Xavier de Guibert, 2005.
3/ « François et l’itinéraire » : Van Eyck peintre de Saint François ; Le chiffre du Séraphin ; L’analogie est un chemin ; Beauté de Dieu, miroir du monde, Éditions franciscaines – 2008.
4/ « Mircea Eliade, Entretiens avec Claude-Henri Rocquet » : L’Épreuve du labyrinthe, Éditions du Rocher – 2006 .
5/ « BRUEGEL, de Babel à Bethléem », Essai, Éditions du Centurion – 2014 : (lire le compte rendu de Dominique Daguet dans « Présentation de Cl.-H. Rocquet » in Site « Parvis des Alliances »).
6/ « Jessica », théâtre, Éditions Granit – 1994.
7/ « Les racines de l’espérance », Journal spirituel, Éditions de l’œuvre, 33 rue Linné, Paris – 2013.
8/ « Chemin de parole » (dont « Abraham et le tragique de Dieu »), Éditions de Corlevour – 2007.
9/ « Goya » Biographie, Éditions Buchet-Chastel.
10/ « L’enfance de Salomon » : texte écrit pour Jean David, conteur nomade, chanteur et musicien. Dessins de l’auteur. Éditions de l’éolienne, 36, Villa Moderne, 94110, Arcueil – 1994.
Pour aller plus loin :
- Le défi du développement des peuples et le pacte de Marrakech - la fuite en avant des Nations Unies
- LA « MODERNITÉ » : UN CENTENAIRE OUBLIÉ
- SCIENCE ET TOLÉRANCE : THÉORIES « MAGNIFIQUES »
- Vladimir Ghika : le contexte politique avant la guerre de 1914-1918
- Liste des ouvriers pastoraux, Evêques, Prêtres, Religieux, Religieuses et Laics tués en 2011 et 2010