L’argent ! L’argent ! Quelle terrible maladie. A France Catholique, nous en avons eu besoin plusieurs fois pour que le journal puisse continuer à paraître. Nos amis ont été généreux. Nous leur en gardons une très grande reconnaissance. Depuis quelques années, nous avons un fonctionnement plus équilibré. Nous arrivons à tenir vaille que vaille sans trop avoir besoin d’aides exceptionnelles. Il est vrai que nous sommes particulièrement économes… Est-ce une bonne chose ? Pas toujours. On assure l’aujourd’hui, mais prépare-t-on le lendemain ? Conquérir un nouvel abonné coûte plusieurs fois le prix d’un abonnement annuel disent les spécialistes. On est souvent tenté de renoncer.
Il est vrai qu’en matière de promotion, on peut toujours faire plus. Voire perdre la tête, comme tel trésorier de parti politique aujourd’hui livré à la vindicte médiatique pour avoir laissé le train des dépenses électorales devenir une machine folle. C’est tellement vite fait d’engager des dépenses en espérant que cela suffira à assurer le succès…
Certains de nos amis payent actuellement l’ISF. C’est un impôt qui frappe les plus riches, qui ne sont pas forcément ceux qui ont le plus d’argent disponible depuis que certaines mesures protectrices des propriétaires immobiliers ont été plus ou moins vidées de leur contenu. Mais il faut bien le payer. Au lieu d’en donner 100 % à l’Etat, il y a possibilité de faire un don à une Fondation reconnue d’utilité publique qui permet d’en déduire 75 %. Bien sûr, ce n’est pas gratuit… Mais ça vaut le coup d’être étudié pour ceux qui sont en train de faire leur chèque à l’Etat.
Si vous êtes dans ce cas, sachez que nous sommes organisés pour recevoir de tels dons qui bénéficieront in fine à notre journal. Appelez-nous pour avoir plus de renseignements. Nous pouvons aussi recevoir les dons et legs mais c’est un autre domaine fiscal moins urgent…
Nous sommes d’accord qu’il y a beaucoup d’autres demandeurs qui méritent plus que nous votre attention et qu’on ne peut pas toujours donner quand il faut gérer son patrimoine au plus serré. Cependant, si vous êtes concerné par l’ISF, si vous n’avez pas encore pris de décision, nous croyons que c’est le moment pour nous de vous rappeler qu’un journal comme France Catholique n’a pas d’avenir sans un sérieux coup de pouce financier. Seul ses amis peuvent le donner.
Frédéric Aimard
01 46 30 37 38 – 06 77 90 36 20
