Que puis-je penser de la politique telle qu’elle « se montre » à nous ? - France Catholique
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La justice de Dieu
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Que puis-je penser de la politique telle qu’elle « se montre » à nous ?

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Nous n’en finirons jamais avec le carriérisme de certains hommes engagés en politique et chargés de mandats divers comme de fonctions. Et leur orgueil. Croient-ils sincèrement être les seuls à pouvoir s’occuper des affaires de l’État ? Toujours plus haut, telle semble être la devise de chacun, car « moi seul suis capable de sortir le pays de ses ornières », laissent-ils entendre.

Je voudrais être revêtu de l’écharpe de la prudence pour avancer quelques remarques : en effet, je prêterai certainement le flanc à la critique qui ne manquera pas de me prier d’agir comme je le dis.

Cependant, il faut s’exprimer sur ce sujet capital. Les cris et disputes entendues ces derniers temps, mais ce n’était pas une exclusivité réservée à ces jours derniers, nous ont submergés sans qu’il sorte de ces affrontements une vision claire de ce qu’ils veulent entreprendre qui soit salutaire pour notre peuple… Il serait bon pourtant, n’est-de pas, il serait sain, il serait plus que nécessaire que nos prétendants, quels qu’ils soient, aux fonctions si nombreuses que propose le service de l’État, annoncent, non pas leur valeur, ou leur capacité, ou leurs diplômes, ou leur curriculum vitæ, toutes choses par ailleurs utiles à connaître, mais leur vision de l’avenir, leur analyse sur la situation présente, sur les dangers auxquels les Français doivent faire face, les méthodes et les moyens qu’ils songent à employer pour l’emporter sur l’adversité.

Et plutôt que de nous agacer les dents avec leurs lâchetés diverses, les amusements de galerie, tel le mariage entre semblables, leurs courbettes devant toutes les évolutions des mœurs lorsque celles-ci sont de l’ordre de l’immoralité la plus destructrice, telles les autorisations de recherches prétendues médicales sur les embryons humains, telle la multiplication des obscénités, des pratiques sexuelles de tout type comme de tout ordre qui ne manquent jamais de venir aux regards comme aux oreilles des enfants, ne feraient-ils pas mieux en effet de regarder en face les défis qui sont opposés à la France ! Deux exemples des plus réels : le premier n’est autre que la chute de notre société dans une dépravation généralisée, largement encouragée par l’État français lui-même, incapable de faire régner la décence dans les médias qu’il gouverne. Il est suicidaire pour un peuple d’admettre comme normale des pratiques ouvertes de mœurs relâchées au point qu’elles ne peuvent que favoriser une « évolution » navrante du plus grand nombre des citoyens vers une absence de courage, de vertu, de tenue personnelle, évolution qui trouve ses justifications dans la propagation sans frein d’un matérialisme qui rabaisse l’être humain au niveau des escargots ; le second exemple est celui que lancent à l’Occident tout entier les salafistes, qu’ils soient de l’extérieur ou de l’intérieur ?

On dit des salafistes qu’ils ne sont qu’une minorité : sans doute ou peut-être, mais ils n’en sont pas moins l’avant-garde d’un islam qui se veut plus que jamais triomphant, assuré de par son livre sacré que la domination sur le monde entier lui est assurée, garantie, qu’elle leur est due ! Leurs actions seront-elles un jour interdites par leur communauté elle-même ? On peut en douter quand l’on sait que bien des imams prêchant dans leurs divers lieux de culte – mosquées, maisons de prière etc. – sont de connivence avec cette branche suractive de l’islam.

Je ne vois pas que l’État français ait pris la mesure de ce danger : non pas tellement aujourd’hui que demain, dans vingt ou trente ans. Après nous le déluge, on connaît cette chanson horrible : mais nos enfants et petits-enfants seront pleinement concernés, et obligés de se salir les mains parce que leurs prédécesseurs politiciens auront refusé de réfléchir et de prendre les mesures qui s’imposent et pourraient encore éviter le pire. Ce pire si menaçant que c’est aujourd’hui qu’il faut s’en préoccuper

Là encore il faut poser quelques questions… L’une des plus urgentes est de nous doter d’une arme susceptible de nous aider à nous débarrasser des plus nocifs de nos immigrés (le problème que posent les nombreux jeunes qui se convertissent en ce moment pour se jeter dans les tabliers des salafistes trouverait là un commencement de solution). Il s’agit en effet de citoyenneté et de nationalité. Il s’agit de savoir s’il ne conviendrait pas, sans tarder, de réviser les règles d’accession à la nationalité française : on entend le ministre de l’Intérieur actuel dire qu’il faut en faciliter l’octroi, ce qui est — je le dis comme je le pense — totalement irresponsable, surtout si l’on tient compte de l’augmentation foudroyante de la population d’origine musulmane. Nous avons le droit du sol, très bien, mais il faut l’amender, en restreindre la portée, le mâtiner d’une proportion de droit du sang pour l’empêcher d’avoir à considérer n’importe quel voyou d’importation récente comme un Français de toujours. (On dit également de souche : si bien que des musulmanes bon teint ont employé l’expression Français sous-chiens…)

Je n’ai pas abordé ce faisant le problème de l’immigration en cours ou à venir : seulement des ennuis qui nous viennent de l’immigration passée. De la folie de nos dirigeants qui ont laissé venir ici des multitudes que nous étions dans l’impossibilité de recevoir dans la dignité et l’efficacité. Règne permanent du « on verra plus tard ». Eh bien, il faut « voir aujourd’hui ».

Qui voudra pourra me démentir et me donner les bonnes raisons de penser autrement. Un référendum devrait être la clef de la décision, puisque nos élus semblent incapables de décider par la voix parlementaire. On ne sait jamais ce que pourraient devenir les chances de la réélection tant convoitée et jugée comme naturelle…

En matière de naturalisation, on ne devrait pouvoir devenir Français que par la preuve du mérite, la preuve de la conviction et de la possession de connaissances suffisantes pour être en mesure d’entrer sans difficultés majeures au sein de notre société : en prenant tout son temps. Cela devrait constituer un débat national avec un référendum à la clef.

Une autre question à caractère référendaire se pose avec insistance depuis déjà au moins les trente dernières années sans que jamais le pouvoir en place accepte de lui donner une réponse étayée par des arguments satisfaisants : celle donc de l’immigration en cours, de l’immigration à venir. En distinguant entre les populations capables de s’adapter rapidement chez nous et celles qui seront condamnée à perpétuité à la misère, à l’isolement, à l’esclavage. J’ai il y a longtemps développé les mesures qui conviendraient pour venir en aide, non « ici » mais « là-bas », à ceux que nous ne saurions recevoir sans en même temps nous rendre de plus en plus incapables d’agir convenablement. En précisant un point de détail, mais capital : un euro dépensé chez eux équivaudrait à dix euros dépensés ici. De plus il génèrerait une rentabilité là-bas sans équivalent avec le peu de retour qui nous reviendrait ici.

J’ai lu, il y a peu, que l’on avait, en Algérie, donné 200 milliers de visas pour la France en 2011. Certes, un certain nombre de ces visas devaient concerner des visites entre familles, des déplacements interentreprises etc. : mais… combien ? Et combien de visas de complaisance ? De visas dits de tourisme ?

Le propos me brûle les lèvres et le cœur, mais réfléchir à ces questions est indispensable car on le doit à ceux qui nous sont les plus proches : pour un Français, ses concitoyens. Il est devenu plus qu’urgent d’être de plus en plus réservé sur l’arrivée de musulmans en France : simplement parce qu’il est devenu impossible de savoir dans quel but réel un musulman vient chez nous, en ami ou en ennemi. L’ennemi se travestira d’abord en agneau et l’on n’y verra que du bleu…

On ne fait pas assez attention, dans les sphères du pouvoir, au potentiel vertigineux de la haine contre la France qui, dans la ceinture « verte » des grandes villes, s’est développée depuis une vingtaine d’années. Écouter les propos d’une multitude de jeunes dans les banlieues sur la France et ses « sous-chiens » donne le vertige. Découvrir à quelle vitesse les conversions en faveur de l’islam se multiplient sidère l’esprit. Si faciles d’ailleurs : il suffit de dire que l’on est musulman pour le devenir. Les imams ne sont pas regardant sur la qualité des nouveaux dévots… On ne fait pas assez attention à la progression à venir de cette population qui n’est pas en son esprit comme en son vouloir française. L’aspiration est bien de le devenir mais quand la France sera musulmane.

Oui, je suis profondément déçu par l’esprit d’irresponsabilité qui sévit actuellement chez nos dirigeants de gauche « et » de droite : jusqu’à François Fillon qui s’est voulu le garant absolu des musulmans. Malgré Mérath ? Il a été le premier informé de ce qui menace notre pays à cet égard dans ce peu d’années après quoi il sera trop tard et la France dotée d’un drapeau vert. L’islam n’est pas d’abord une religion, il est une politique qui se sert d’une religion obligatoire, que l’on ne peut quitter qu’au risque de la mort, et la mort par égorgement, où celui qui épouse une musulmane doit se convertir à l’islam etc.. Mais le Coran est-il une lecture autorisée à nos élus ?

La campagne pour l’élection du « chef » de l’UMP a été confondante : avez-vous entendus les prétendants débattre d’un programme d’avenir ? Tracer une voie de salut ? De sortie des impasses qui sont actuellement les nôtres, notamment économiques, financières, monnaitaires, sociales, culturelles ? C’est sur cela pourtant et avant toute chose qu’aurait dû porter le vote des militants.

Quel homme de gouvernement a osé aborder la question des causes vraies de ce qui s’est passé en Grèce ? De cette adhésion bâclée à la zone euro et des exigences de cette zone dépassant la capacité de ce pays ? Mais avant cela, de déceler combien cet événement est révélateur de l’ineptie qui a présidé à la constitution même de cette zone ? Qui ose seulement évoquer les solutions alternatives qui existent de se débarrasser d’une monnaie qui nous tue ? On dirait que l’acte fondateur de cette monnaie est aussi sacré pour les Européiste que le Coran pour les musulmans… Mais ont-ils vraiment pris connaissance à la fois des doléances de nombreux économiste sérieux que de leurs suggestions pour sortir de cette dépendance envers une monnaie qui ne peut qu’engendrer crises sur crises ?

Etc., Etc.